Le Sri Lanka a réitéré que l'étude sur la recherche des origines du SRAS-CoV-2, le virus responsable de la pandémie de COVID-19, devrait être basée sur des méthodes scientifiques fondées sur des preuves et ne pas être politisée, a déclaré le ministère sri-lankais des Affaires étrangères dans un communiqué mercredi.
Un virologue nigérian a estimé que la recherche des origines du SRAS-CoV-2 ne devrait pas être politisée mais être fondée sur des preuves scientifiques concrètes.
Les étudiants sud-africains ont demandé mardi que la recherche des origines du SRAS-CoV-2 soit basée sur des données scientifiques et ne soit pas dirigée contre d'autres pays.
Calomnier la Chine en l'accusant d'être à l'origine de la pandémie de COVID-19 n'est rien de plus qu'un outil de lutte politique aux Etats-Unis, a récemment déclaré l'agence de presse Spoutnik, citant un professeur.
Il est important d'arrêter de politiser la COVID-19 et de mener des études scientifiques pour identifier les véritables origines du nouveau coronavirus et son cheminement vers l'homme, a déclaré un analyste ougandais.
"Les Etats-Unis et une poignée de leurs alliés tentent d'induire le monde en erreur", a récemment déclaré une tribune du principal journal bangladais de langue anglaise, le Bangladesh Post.
Le soi-disant « rapport d’enquête sur l’origine du COVID-19 » que les renseignements américains ont remis il y a quelques jours est purement et simplement un document politique et faux. Les Etats-Unis ont accusé la Chine d’absence de coopération et de transparence sur cette question. Tout cela est un tas de mensonges.
Au mois de mai, Joe Biden a demandé aux services de renseignement des Etats-Unis de lui transmettre sous 90 jours un rapport sur l’origine du Covid-19. Un résumé « déclassifié » de deux pages a été rendu public vendredi dernier par le Bureau du directeur du renseignement national des Etats-Unis.
Selon le vice-ministre des Affaires étrangères Ma Zhaoxu, la Chine a fait part aux États-Unis de ses plus vives protestations au sujet du rapport de recherche des origines du COVID-19 soumis par la communauté du renseignement américain au président américain Joe Biden.
Zhao Lijian, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, a affirmé mercredi que les États-Unis ne se souciaient ni des faits ni de la vérité, qu'ils cherchaient uniquement à épuiser et salir la Chine en lançant une enquête sur la « théorie de la fuite de laboratoire » dans laquelle la Chine est présumée coupable.
Un article publié le 16 août par le Quotidien du Peuple revient sur le soutien exprimé par la rédactrice en chef du journal français Nouvelle Solidarité, Christine Bierre, envers la position de la Chine à propos de l’enquête sur l’origine du nouveau coronavirus.
La recherche des origines du virus du COVID-19 est une question importante qui doit être menée par les États membres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a déclaré le 16 août une porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
Les futures études de traçage de l'origine du COVID-19 doivent prendre en compte les résultats de la première phase de la recherche de l'OMS dans ce domaine et il n'est pas nécessaire d'enquêter à plusieurs reprises sur les résultats de la première phase pour le moment, a remarqué un scientifique français lors d'un récent entretien avec le journal chinoisScience and Technology Daily.
Plus de données et d’études rétrospectives sur les traces du Covid-19 en 2019 ou avant devraient être étudiées pour obtenir une image plus claire de ses origines mystérieuses, affirment les scientifiques de nombreux pays.
La Chine soutient pleinement le traçage scientifique de l'origine du virus, avec des enquêtes sur les origines animales et la transmission de la chaîne du froid, ainsi que les efforts allant de ce sens dans plusieurs pays. Cependant, la Chine n'acceptera jamais les manipulations politiques avec une intention malveillante.
Lorsque les Etats-Unis ont de nouveau jeté le trouble vis-à-vis de la Chine sur la question de l’origine du COVID-19, le public chinois en a eu assez. Il a signé une pétition et appelé l’OMS à enquêter sur le laboratoire de Fort Detrick aux Etats-Unis. Le nombre de signataires a augmenté rapidement, mais lorsqu’il a dépassé la barre des 10 millions, le serveur qui hébergeait la pétition a été attaqué à deux reprises et l’adresse IP provenait des Etats-Unis.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a récemment proposé la mise en œuvre de la deuxième phase des recherches sur l'origine du COVID-19. Ce qui est choquant, c'est qu'elle se base sur l'hypothèse selon laquelle « la Chine viole les procédures de laboratoire et provoque une fuite de virus » pour en faire une de ses priorités dans les recherches.
Le gouvernement américain ne cesse de pointer du doigt la Chine dans la recherche de l'origine du COVID-19, tout en détournant le regard lorsque sont évoqués les soupçons qui pèsent sur sa base de recherche biologique de Fort Detrick. Face à ce comportement évasif, les utilisateurs de la plateforme américaine de questions-réponses en ligne Quora sont de plus en plus nombreux à estimer qu'il est temps d'ouvrir une enquête.
Une pétition en ligne initiée par des internautes chinois et demandant à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’enquêter sur le laboratoire de Fort Detrick a déjà rassemblé près de 17 millions de signatures. Pourtant, ni le gouvernement des Etats-Unis, ni l’OMS n’ont répondu.
Un article publié le 25 juillet dans le Quotidien du Peuple souligne que les États-Unis, en tant que pays disposant de la technologie médicale la plus avancée et la plus mature au monde, n’ont pas seulement échoué à contenir l’épidémie de COVID-19 à l'intérieur de leurs frontières en laissant près de 35 millions de personnes contracter le nouveau coronavirus et plus de 610 000 personnes perdre la vie.
Aux Etats-Unis de répondre…
L'attaque des Etats-Unis contre la Chine au sujet de la recherche de l'origine de la COVID-19 est une manifestation de leur habitude consistant à blâmer autrui pour des actions nuisibles dont ils sont eux-mêmes coupables, a récemment dénoncé un éminent analyste bangladais des affaires étrangères.
M. Wang a fait ces remarques, dimanche à Chengdu, lors d'une rencontre avec la presse en compagnie du ministre finlandais des Affaires étrangères Pekka Haavisto.
Le directeur de la Central Intelligence Agency (CIA), William Burns, a déclaré qu'il pourrait ne pas y avoir de conclusion définitive sur l'origine du nouveau coronavirus.
Un chroniqueur philippin a exhorté son gouvernement et les internautes philippins à s'engager pour mettre fin à la politisation de l'étude sur l'origine de la COVID-19, selon un récent article publié en ligne par le média philippin d'information Sovereign PH.
La Chine espère que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pourra adhérer à l'esprit de la science, du professionnalisme et de l'objectivité, et ainsi travailler avec la communauté internationale pour défendre conjointement l'intégrité scientifique de l'étude des origines de la COVID-19, résister au vent contraire de la politisation et préserver l'atmosphère saine de la coopération anti-épidémique mondiale, a déclaré vendredi Zhao Lijian, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
Le Parti communiste sud-africain (SACP) a dénoncé jeudi dans un communiqué les tentatives de politisation de la recherche de l'origine du nouveau coronavirus.
Alors que le déploiement mondial de la vaccination apporte l’espoir dans les pays plongés dans les ténèbres du COVID-19, un « virus politique » émergent jette une ombre sur les origines de la maladie.
La Chine espère que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) traitera véritablement le travail de recherche sur les origines de la COVID-19 comme une question scientifique, éliminera les ingérences politiques et promouvra activement et prudemment le travail de recherche qui sera effectué de manière continue dans plusieurs pays et régions du monde, a déclaré jeudi un haut responsable de la Commission nationale de la santé (CNS).
Le Secrétariat de l’OMS a récemment proposé la deuxième phase du nouveau plan de travail sur l’origine du COVID-19, ce qui est incompatible avec la position de la Chine et de nombreux pays sur la question du traçage. A l’heure actuelle, 55 pays ont écrit au directeur général de l’OMS, appelant à des études sur ce sujet qui soient scientifiques et s’opposant à la manipulation politique.
La Chine espère que l'Organisation mondiale de la santé traitera véritablement le travail de recherche sur les origines de la COVID-19 comme une question scientifique, éliminera les ingérences politiques et promouvra activement et prudemment le travail de recherche qui sera effectué de manière continue dans plusieurs pays et régions du monde, a déclaré jeudi un haut responsable de la Commission nationale de la santé (CNS).
La recherche de l’origine des virus, dont celle du nouveau coronavirus, est une entreprise extrêmement difficile et complexe, sujette à des incertitudes, mais une chose est sûre : cette quête doit être étayée par des preuves scientifiques, et non par des spéculations à caractère politique, ont souligné plusieurs experts.
Les appels à la justice de la part d’un nombre toujours plus grand de pays dans le travail de recherches pour trouver l’origine du nouveau coronavirus contrastent fortement avec la pratique de certains pays, qui recherchent la manipulation politique, rejettent la science et déforment les faits, a indiqué mardi le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian.
La Chine espère que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) respectera l'esprit de la science, du professionnalisme et de l'objectivité et travaillera avec la communauté internationale pour maintenir la nature scientifique et sérieuse du traçage de l'origine de la COVID-19, a déclaré lundi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Zhao Lijian.
Le principal conseiller médical de la Maison Blanche, Anthony Fauci, a récemment déclaré qu'il estimait que la théorie d'une origine naturelle du nouveau coronavirus était toujours "la plus plausible".
Jeudi, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a indiqué que 48 pays avaient envoyé une lettre conjointe à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), s’opposant à la politisation de l’enquête pour trouver l’origine du virus. Ils enjoignent par ailleurs à l’organisation d’agir selon la résolution adoptée par l’Assemblée mondiale de la santé (AMS) et de faire avancer l’enquête mondiale sur la traçabilité du virus.
La Chine exhorte les parties concernées à cesser toute manipulation politique sur la question du traçage de l'origine de la COVID-19, à arrêter d'utiliser cette question pour se défausser de leurs responsabilités et à se garder de saper la coopération internationale dans la recherche de l'origine du virus, a déclaré jeudi un porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
Les représentants permanents de 48 pays auprès l'Office des Nations Unies à Genève ont envoyé jeudi une lettre à Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), en lui exprimant leur soutien aux études sur les origines du virus COVID-19 dans le monde ainsi que leur opposition à la politisation de la recherche de l'origine du virus.
Les pays doivent s'abstenir d'instrumentaliser la recherche des origines de la COVID-19 pour marquer à bon compte des points politiques, a recommandé un responsable sud-africain.
La science, et non la spéculation, est primordiale pour déterminer comment le virus responsable de la COVID-19 a été transmis à l'homme, et le recours à l'espionnage ne fait que remplacer la science par la politique, a déclaré un universitaire américain en début de semaine.
Le 9 juillet, une tribune publiée dans le journal singapourien Lianhe Zaobao estimait que la question de l’origine du COVID-19 devrait faire appel à la rigueur scientifique au lieu de verser dans le jeu géopolitique. La pandémie a creusé le fossé et l’antagonisme entre la Chine et l’Occident. Il est important d’arrêter de politiser la question de l’origine du nouveau coronavirus, car ce travail scientifique est une question vitale pour l’humanité, qui ne doit pas se transformer en jeu politique entre grandes puissances.
La contradiction permanente de Washington dans la lutte mondiale contre la COVID-19 sape les efforts d'éradication de cette maladie qui fait des ravages dans de nombreux pays, a estimé Allawi Ssemanda, chargé de recherche au Development Watch Center, un groupe de réflexion sur la politique étrangère basé dans la capitale ougandaise Kampala.
Le traçage de l'origine du nouveau coronavirus devrait être une question scientifique plutôt qu'un jeu géopolitique, estime une tribune parue vendredi sur le quotidien singapourien Lianhe Zaobao.
Malgré une campagne américaine visant à calomnier la Chine sur l'origine du nouveau coronavirus, de plus en plus de scientifiques et de chercheurs s'opposent à la politisation de ce sujet.
« La détermination de l’origine du nouveau coronavirus devrait être un effort de recherche scientifique conjoint, plutôt qu’une enquête unilatérale sur la Chine », a déclaré lundi le ministère chinois des Affaires étrangères, à la suite d’une lettre ouverte publiée par un groupe de « scientifiques internationaux » demandant que la question soit de nouveau étudiée.