- L’année 2020 aura été celle de la propagation mondiale du COVID-19. Comme la plupart des pays d’Europe ainsi que les Etats-Unis, la France est durement touchée par l’épidémie où elle a fluctué tout au long de l’année. Le président Emmanuel Macron a récemment reçu un diagnostic de COVID-19 et a été isolé. La France portera donc le lourd fardeau de l’épidémie jusqu’en 2021.
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Les élections présidentielles françaises auront lieu au mois d’avril, et le candidat sortant Emmanuel Macron brigue un second mandat. Un mois déjà s’est écoulé depuis le début de l’opération militaire spéciale lancée par la Russie en Ukraine, sans aucun signe visible de cessez-le-feu prochain. Cette guerre qui se déroule à proximité des frontières françaises pèsera fortement sur les élections.
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La France promeut une diplomatie globale pour sauvegarder ses intérêts stratégiques et le Moyen-Orient est précisément au centre de la diplomatie française. M. Macron a intensifié ses efforts pour lutter contre l’extrémisme islamiste afin de lutter contre le terrorisme, suscitant mécontentement et appréhension dans les pays arabes, et déclenchant même des conflits diplomatiques, ce qui complique encore plus la lutte contre le terrorisme.
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Il y a quelques jours, juste au moment où le procès de la fusillade de Charlie Hebdo en 2015 débutait, une attaque au couteau s’est déroulée avec un objectif extrêmement marqué. Cela montre que le terrorisme menace toujours Paris et que les attentats terroristes restent un défi majeur pour la France.
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La France a des relations difficiles de longue date avec la Turquie ; elle s’est toujours opposée à l’adhésion de cette dernière à l’Union européenne, et a condamné les frappes récentes turques contre les Kurdes dans le nord de la Syrie.
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On peut avancer que la fourniture à l’Inde des avions de combat les plus avancés est conforme avec au positionnement stratégique de la France dans l’espace indopacifique. En plus des 36 chasseurs Rafale, la France a également fourni 6 sous-marins de la classe Scorpène.
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En quelques semaines à peine, de la fin juin à aujourd’hui, l’arène politique française a subi des turbulences considérables. Elles ont débuté lors des élections municipales nationales, qui se déroulent tous les six ans. Qu’on l’admette ou non, ce scrutin a été un tournant dans le quinquennat de M. Macron.
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Dans une interview accordée le 26 juin, la chancelière allemande Angela Merkel a déclaré que bien qu’il existe des « raisons importantes » pour continuer à maintenir l’alliance de défense transatlantique, si les États-Unis abandonnent volontairement leur rôle de puissance mondiale, alors l’Allemagne doit « fondamentalement considérer l’avenir de la relation transatlantique. »
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La Commission européenne a récemment proposé un plan de relance économique de 750 milliards d’euros pour soutenir les pays européens durement touchés par l’épidémie de COVID-19. Ce plan de financement – le plus important à ce jour – démontre la volonté de l’Union européenne (UE) de « s’unir et de lutter ensemble », d’éviter un effondrement, et constitue une étape historique dans l’intégration européenne.
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Des leçons tirées du passé, on tire des enseignements pour l’avenir. Avec le recul, il n’est pas difficile de voir que les ventes d’armes à Taïwan sont une « ligne rouge » infranchissable dans les relations sino-françaises. Si elle est franchie, la Chine réagira inévitablement avec force. C’était vrai dans les années 1990, et c’est encore vrai aujourd’hui.
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