IV. Problèmes et mesures pour la résolution

Problèmes : Barrières commerciales et obstacles à l'investissement Avec l'élargissement de l'exportation de la Chine vers l'Inde, l'Inde qui accuse un déficit commercial croissant a proposé à maintes reprises des mesures de secours commercial à l'égard des produits chinois. En outre, la procédure d'examen et d'approbation et le processus d'examen sécuritaire irrationnel contrarient les projets d'investissement des entreprises chinoises.

Mesures pour la résolution : Tout d'abord, il faut faire valoir le rôle du gouvernement dans l'exploitation du nouveau marché, y compris la négociation avec la partie adverse, la proposition sur l'annulation de la politique discriminatoire envers les produits chinois et les projets d'investissement des entreprises chinoises ; il faut encore soutenir, sur le plan de politique et de capital, les entreprises désireuses d'exploiter le nouveau marché et leur fournir les informations commerciales nécessaires. Puis, les entreprises doivent quant à elles savoir que l'exploitation du potentiel du marché indien sera une tâche ardue à long terme nécessitant persévérance et à patience.

Les atouts des deux pays se concentrent sur leurs produits à densité de main-d'œuvre. Le résultat de l'option professionnelle aboutira inévitablement à une concurrence bilatérale. Dans l'actuel contexte de la mondialisation de la production, on peut transformer la compétitivité en complémentarité si l'on se complète l'un l'autre. Cette transformation peut être attestée par le fait que le secteur manufacturier indien entre en Chine et accueille les entreprises chinoises au lieu d'être hostile à celles-ci comme autrefois. Cependant, on ne peut pas nier l'existence de la concurrence. Au cours de l'activité productive indivisible, si l'on ne peut pas se compléter l'un l'autre à travers la sous-traitance ou l'achat par le marché, la concurrence bilatérale se poursuivra, et cette concurrence s'avèrera visible même dans le secteur des techniques informatiques, secteur dans lequel les deux pays espèrent coopérer davantage. Pour entrer sur le marché international, la Chine ne peut commencer que par la sous-traitance du logiciel, ce qui entraînera inévitablement une concurrence avec l'Inde. Actuellement, les États-Unis monopolisent le marché international du logiciel de base et celui du logiciel intermédiaire, laissant aux entreprises chinoises du logiciel un espace de développement limité, sauf exploitation du logiciel appliqué où des entreprises indiennes ont commencé à s'engager. La concurrence ne signifie pas le résultat nul ni un enjeu, elle est le plus souvent une réciprocité. Dès maintenant, nous devons absolument prêter attention à l'Inde, qu'elle soit notre partenaire ou adversaire dans la concurrence.