Les forces du "Turkistan oriental" perturbent gravement le développement et les progrès du Xinjiang
Les forces du "Turkistan oriental" ont sévèrement perturbé le développement et les progrès du Xinjiang, indique un livre blanc publié lundi par le Bureau de l'information du Conseil des affaires d'Etat (gouvernement chinois).
Le document, intitulé "Développement et Progrès au Xinjiang", déclare que les forces du "Turkistan oriental" dans la région autonome ouïgoure et en dehors de la région, sans égard pour le bien-être de la population du Xinjiang, trompetent toujours le séparatisme et ont comploté et organisé de nombreux incidents sanglants terroristes et violents, mettant en péril l'unification nationale, la stabilité sociale et l'unité ethnique, perturbant ainsi gravement le développement et les progrès de la région.
"Ce qu'ils ont fait s'est heurté à une forte opposition des populations de toutes les ethnies du Xinjiang," souligne le livre blanc.
Depuis la fondation de la République populaire de Chine en 1949, le Xinjiang est entré dans une nouvelle phase, bénéficiant de l'unité ethnique et de la stabilité sociale. Cependant, les forces du "Turkistan oriental" persistent et entreprennent des actions clandestines.
Selon le document, les forces du "Turkistan oriental" à l'intérieur et à l'extérieur de la Chine, soutenues par des forces étrangères hostiles, ont organisé de nombreuses émeutes et lancé une insurrection armée dans le but de diviser le pays.
Dans les années 1990, influencées par les idées de terrorisme, de séparatisme et d'extrémisme, les forces du "Turkistan oriental", de l'intérieur comme de l'extérieur, se sont appuyées sur des violences terroristes comme principal moyen de sécession. La nature du terrorisme des forces du "Turkistan oriental" a ainsi sauté aux yeux du monde entier, révèle le livre blanc.
Depuis 2008, ces forces ont organisé un nouveau cycle d'activités de sabotage. Elles ont été responsables de plusieurs incidents sanglants et violents visant les Jeux olympiques de Beijing.
Par ailleurs, les émeutes violentes du 5 juillet 2009 survenues à Urumqi, capitale de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, ont été préméditées à l'intérieur et à l'extérieur de la Chine par les trois forces du terrorisme, du séparatisme et de l'extrémisme, accuse le livre blanc.
Ces violences ont causé de lourdes pertes humaines et en matériel dans tous les groupes ethniques, et mis en danger l'ordre normal et la stabilité sociale dans la région, dénonce le livre blanc.
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