Avec les villes de Jinan et de Shijiazhuang, respectivement des provinces du Shandong et du Hebei, Beijing a annoncé cette semaine qu'environ 30 % des voitures officielles dans ces villes seront retirées de la circulation dans les cas de smog épais.
En outre, Shanghai considère un projet de règlement à l'effet que les véhicules officiels soient retirés de la circulation quand l'index de qualité de l'air atteint 301 et plus, selon le directeur Zhang.
Le projet vise également à limiter les polluants atmosphériques des usines et des chantiers de construction, a indiqué M. Zhang.
Plus tôt ce mois-ci, Wang Rong, un fonctionnaire municipal chevronné de Shenzhen (province du Guangdong, Chine du Sud), a remplacé sa voiture officielle à essence par une autre qui est électrique.
Dans le futur, plus de fonctionnaires de Shenzhen utiliseront des voitures électriques, a dit Xu Qin, maire de la ville.
Cependant, on craint que les effets du déplacement de l'air transportent les polluants vers les secteurs avoisinants, étant donné que le temps pollué par le smog affecte de plus en plus de villes.
Le ministre chinois de l'Environnement Zhou Shengxian a dit jeudi dernier que le ministère envisage de mettre en place une équipe transrégionale de travail composée de divers départements provinciaux pour faire face au problème de brume dans la région Beijing-Tianjin-Hebei et dans celle du delta du fleuve Yangtsé.
« Ce dont nous avons besoin est non seulement une nouvelle loi ou une révision, mais une application ferme », a indiqué l'internaute « Amindejianghu », sur Sina Weibo.
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