fondamentale concernant « les terres restituées aux foyers, qui

jouissent du droit d'utilisation pour une longue période » et

« les troupeaux des éleveurs privatisés pour une gestion indé-

pendante à long terme » a été mise en application dans les

régions rurales et pastorales ; en juin 2001, tout en détermi-

nant une politique financière préférentielle spéciale destinée

au Tibet dite « aucun revenu du Tibet remis au gouverne-

ment central ; la subvention accordée par les finances cen-

trales accrue d'année en année ; accord du soutien aux pro-

grammes spéciaux », le gouvernement central a élaboré 50

mesures préférentielles et donné l'aval à 117 projets d'assis-

tance au Tibet. Entre 2001 et 2005, les finances centrales ont

consacré des subventions financières d'un montant total de

47,5 milliards de yuans, représentant plus de 92 % des dépenses

financières du Tibet, sans compter les emprunts publics et les

sommes spéciales réservées à la construction d'infrastructure

au Tibet, ce qui assure énergiquement le besoin de capitaux

pour réaliser le développement à grandes enjambées dans les

domaines économique et social au Tibet.

A compter de 1995, les soutiens entre partenaires corres-

pondants ont commencé officiellement. A la fin de 2006, 18

provinces, plus de 60 organismes au niveau national et 17

entreprises étatiques s'y sont mêlés, et ont investi 6,2 mil-

liards de yuans et envoyé quelque 2 890 cadres en quatre

groupes pour fournir 3 170 projets d'assistance. De juin à juillet

2007, les cadres du cinquième groupe sont allés à leur poste

au Tibet. Grâce à ses efforts, le Tibet a connu un grand chan-

gement sans précédent dans son histoire.

Actuellement, le Tibet se trouve dans la meilleure pé-

riode de développement économique et social. Cependant,

malgré de grandes améliorations réalisées pour la vie des diverses