Zhang Wenhong: de nombreux membres du PCC ont joué un rôle de modèles dans la lutte contre l'épidémie de COVID-19

Selon Zhang Wenhong, célèbre médecin de Shanghai, le Parti communiste chinois (PCC) a fait preuve de leadership en guidant non seulement le pays à travers le déploiement de personnel médical et de ressources pendant la pandémie de COVID-19, mais aussi en mobilisant le public.

Chef de l'équipe d'experts de Shanghai qui a traité de nouveaux cas de coronavirus, le Dr Zhang a noté que de nombreux membres du PCC avaient joué un rôle de modèles dans le domaine médical. Leurs actions ont consisté à aider Wuhan, capitale de la province du Hubei (centre de la Chine), durement touchée, à soutenir les hôpitaux désignés traitant les cas de COVID-19, à mener des recherches scientifiques et à diffuser des informations correctes sur la pandémie pour rassurer le public.

Les membres du PCC de base travaillant dans la gestion des quartiers, la sécurité publique, la prévention et le contrôle des maladies et les transports en commun ont également contribué à la lutte contre la propagation du virus à Wuhan, a-t-il aussi souligné.

« Lorsque chaque membre du PCC fait son travail, le Parti gagne le soutien du peuple et incite davantage de gens à lui emboîter le pas et à apporter leur contribution au pays », a-t-il déclaré lors de l'ouverture d'une exposition d'articles historiques du PCC à Shanghai le mois dernier.

Selon le Dr Zhang, quelque 40 000 travailleurs médicaux de tout le pays ont été envoyés pour aider Wuhan au début de l'année dernière.

« Comment ont-ils réussi à former une équipe solide et à travailler avec une grande efficacité de manière aussi rapide ? La réponse réside dans l'établissement de la direction du Parti dans chacune des institutions médicales dans lesquelles ils travaillaient à Wuhan à leur arrivée », a-t-il dit.

Le Dr Zhang, qui est également secrétaire de la branche du Parti et directeur du département des maladies infectieuses de l'hôpital Huashan de Shanghai affilié à l'Université Fudan, s’est fait connaître sur Internet après avoir annoncé en janvier de l'année dernière au milieu d'une vague d'infections locales qu'il avait envoyé des médecins et des infirmières qui étaient membres du PCC dans les hôpitaux de première ligne pour traiter les cas de COVID-19.

Il avait dit à l'époque : « Lorsque nous sommes devenus membres du PCC, nous nous sommes engagés à toujours donner la priorité aux intérêts du peuple et à avancer face aux difficultés. L’heure est venue pour nous de tenir notre promesse. Tous les membres du PCC doivent se précipiter en première ligne. Ce n’est pas négociable ». Lorsqu'ils sont confrontés à des difficultés, en particulier les plus extrêmes, les gens ont besoin d'un groupe qui peut rallier le public pour une orientation réelle et spirituelle, et le PCC est justement ce genre de groupe, a-t-il ajouté.

Le Dr Zhang, qui a été honoré en tant que membre national exceptionnel du PCC, a déclaré lors d'une émission sur la télévision chinoise qu'il n'y avait eu aucune hésitation lorsque, avec ses collègues experts médicaux, qui sont également membres du PCC, ils ont dû se précipiter au centre de contrôle de l'épidémie de Shanghai au milieu de la nuit.

Il a dit se rappeler que le premier cas confirmé de COVID-19 survenu fin janvier était un travailleur d'un grand hôpital de Shanghai. En conséquence, tout le personnel de l'hôpital a dû retourner à l'hôpital, qui a été placé sous un confinement de 14 jours. Et bien qu'il y ait près de 7 000 travailleurs dans l'établissement médical, le rappel a été effectué en quelques heures.

« Les tests d'acide nucléique pour ces personnes devaient être achevés cette nuit-là, et ils devaient être classés en groupes en fonction de la probabilité qu'ils soient entrés en contact avec le cas confirmé », a-t-il déclaré.

Lors de l'épidémie de COVID-19 à Wuhan l'année dernière, le Dr Zhang s'est dit très impressionné par les performances de ses jeunes collègues. Beaucoup d'infirmières n’étaient âgées que d’une vingtaine d’années.

« Elles ont clairement compris que le taux de mortalité de la maladie à Wuhan à ce moment-là était de 6%. Mais elles n’ont pas hésité à risquer leur vie et se sont précipitées sur la ligne de front sans hésitation et se sont consacrées à la course contre la montre pour sauver les patients », a-t-il noté, ajoutant que certaines de ces jeunes travailleuses médicales étaient déjà membres du PCC tandis que d'autres ont rejoint le Parti lorsqu'elles étaient en première ligne.