Alors que la Chine continue de contrôler les nouvelles flambées épidémiques grâce à son approche dynamique "zéro COVID", certains bigots occidentaux ont saisi l'occasion pour dire du mal des efforts anti-pandémiques du pays et mépriser les politiques de contrôle des épidémies du gouvernement chinois.
Par exemple, dans sa dernière diatribe contre la lutte anti-épidémique de Shanghai, le New York Times s'est donné beaucoup de mal pour dépeindre un gouvernement chinois inepte et remettre en question la "légitimité" du Parti communiste chinois (PCC) "en temps de crise".
Mais toutes ces attaques se sont effondrées devant les faits. La Chine a trouvé un équilibre délicat entre le contrôle de la pandémie et le développement économique. Sa façon de dompter le virus s'est avérée scientifique et efficace, témoignant de la force institutionnelle du pays.
Depuis plus de deux ans, la Chine accorde la priorité à la vie et au bien-être de la population et s'en tient à son approche "zéro COVID" dynamique. Dans le même temps, elle a procédé à des ajustements dynamiques, en fonction des conditions, de ses mesures ciblées de contrôle des épidémies. Tous ces efforts, associés à une approche de prévention de l'épidémie pour se prémunir contre les cas entrants et la résurgence nationale, ont permis au pays de limiter la propagation du virus et de minimiser l'impact de l'épidémie.
Alors que le variant Omicron, hautement contagieux et latent, balaie le monde, plusieurs régions chinoises ont été éclipsées par la résurgence actuelle du virus. Mais la Chine a su relever le défi.
Grâce à la mise en œuvre résolue et complète de l'approche dynamique "zéro COVID" et au soutien inconditionnel du peuple chinois, Shenzhen, dans le sud de la Chine, a repris son travail et sa production normale à la fin mars alors que la résurgence s'atténue, tandis que la transmission communautaire est interrompue dans la province de Jilin depuis la mi-avril. Dans une course contre la montre, Beijing a effectué de multiples séries de tests d'acide nucléique et a compris le tableau fondamental de la transmission cachée dans la société.
En outre, les données montrent que la situation épidémique s'améliore régulièrement et est sous contrôle efficace à Shanghai. Les nouveaux cas d'infection quotidiens sont passés d'un pic de 27.000 à moins de 5.000 et près des deux tiers des infections se sont résorbées dans la ville. Plus de 70% des plus de 1.800 grandes entreprises de Shanghai ont repris le travail et la production, avec un taux de reprise dans le premier groupe de plus de 660 entreprises industrielles clés de la ville dépassant les 90%.
La capacité de la Chine à organiser avec succès des tests massifs d'acide nucléique, à construire des hôpitaux de campagne, à envoyer du personnel médical et à livrer des fournitures indispensables a démontré la capacité systémique du pays à rassembler ses forces derrière la solidarité du peuple chinois.
Sous la direction du gouvernement central chinois, Shanghai a mobilisé des équipes de tests d'acide nucléique, avec une capacité de traitement quotidienne de 2,38 millions d'éprouvettes. Plus de 30.000 personnels médicaux de 22 régions du pays s'y sont précipités pour participer à la lutte contre l'épidémie. Pour de nombreux experts, ces actions rapides à Shanghai sont une miniature des capacités de mobilisation et d'organisation sans précédent de la Chine, rendues possibles par la direction forte et sage du PCC, qui s'est fermement imposé comme l'épine dorsale la plus fiable de la nation et du peuple chinois.
Selon les statistiques préliminaires de la fin avril, plus de 720.000 membres du Parti se sont portés volontaires pour se présenter au travail pendant la résurgence actuelle à Shanghai. En date du 30 avril, ils ont également aidé à mettre en place 164 sites de tests d'acide nucléique dans la ville.
Le soutien de la population fait la différence dans la réponse anti-épidémique, a noté une réunion convoquée jeudi par le Comité permanent du Bureau politique du Comité central du PCC, soulignant la nécessité de s'assurer que les Chinois soient bien informés et de répondre rapidement à leurs préoccupations.
Cette philosophie axée sur le peuple, chaleureusement accueillie et hautement appréciée par la population chinoise, a permis à la Chine de réaliser des progrès stratégiques majeurs. Parmi les grandes économies, la Chine a été la première à maîtriser en grande partie la pandémie, la première à reprendre le travail et la production et la première à atteindre la croissance économique. Même si des milliers de cas quotidiens ont été signalés récemment, la Chine, pays le plus peuplé de la planète, reste l'un des pays où les taux d'infection sont les plus faibles au monde.
"La stratégie globale, marquée par des tests rapides de masse, des vaccinations et le soutien du gouvernement en termes de soins aux personnes touchées, contraste fortement avec ce qui s'est passé dans d'autres pays du monde", a noté Cavince Adhere, un spécialiste des relations internationales basé au Kenya. "Sur la base de cette expérience, la Chine prend maintenant les mesures appropriées pour ses villes densément peuplées et leurs environs", a relevé Muzaherul Huq, ancien conseiller de la région Asie du Sud-Est à l'Organisation mondiale de la santé.
La confiance croissante du peuple chinois dans les politiques de contrôle des épidémies du gouvernement, ainsi que la large reconnaissance par la communauté internationale des réalisations de la Chine en matière de lutte contre les pandémies, ont mis une claque au New York Times et à ses semblables. Dans les années à venir, d'autres pratiques prouveront que la stratégie chinoise de contrôle des épidémies est le bon choix qui peut résister à l'épreuve de l'histoire.