Durant cette journée de commémoration, le président Macron était également accompagné de son prédécesseur François Hollande, de la maire de Paris, Anne Hidalgo, de la présidente de la Région Ile-de-France, Valérie Pécresse, ainsi que des présidents du Sénat, Gérard Larcher, et de l'Assemblée nationale, François de Rugy, du ministre français de l'Intérieur, Gérard Collomb, et de la ministre française de la Justice Nicole Belloubet.

Alors qu'aucune prise de parole officielle n'a eu lieu conformément à la demande des victimes et des familles des victimes, le Premier ministre français Édouard Philippe a déclaré ce lundi sur la radio France Inter : "Je pense qu'on peut regarder le pays en se disant qu'il a tenu". L'ancien Premier ministre français Manuel Valls a pour sa part affirmé sur la chaîne d'information française CNews qu'il était "marqué à jamais" par les événements. "Cent trente morts, il ne faut jamais l'oublier" a-t-il ajouté, précisant que bien que "le temps passe, rien ne doit effacer les émotions de ce moment-là" car "c'est aussi le meilleur moyen de rester mobilisés face au terrorisme".