Durant le séisme de magnitude 9,0 au Japon, on a pu constater la solidité des normes de construction japonaises. Bien que les bâtiments aient été ballotés par le tremblement de terre, les structures ont conservé leur intégrité.
La capacité parasismique des bâtiments japonais se divise en trois niveaux : supporter, contrôler ou arrêter l'énergie du séisme. Le premier niveau est principalement utilisé dans les bâtiments à peu d'étages. Le deuxième niveau consiste à chercher un point pour assimiler l'énergie du séisme ; après le séisme, il suffit de remplacer la partie détruite pour assurer l'intégrité du bâtiment. Le troisième niveau possède un coût élevé et requiert des conditions favorables. La plupart des bâtiments japonais adoptent donc le deuxième niveau.
Voici les bâtiments antisismiques japonais :
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