Ces particules sont potentiellement plus dangereuses pour la santé, provoquant des problèmes de respiration. Elles sont également suspectées d'être la cause du smog.
Selon le centre, Beijing établira plus de deux douzaines de stations de surveillance pour détecter la densité des PM 2.5 avant la fête du Printemps, qui tombe le 23 janvier. Soit en avance sur le calendrier national de 2016.
Les résidents de Beijing sont depuis longtemps insatisfaits des chiffres officiels sur la qualité de l'air, et estiment que ceux-ci ne correspondent pas à leur expérience.
Les gens ont appelé le gouvernement à adopter des contrôles sur les PM 2.5 tandis que celui-ci persistait à dire que l'air était « légèrement pollué » (une conclusion fondée sur les données PM 10) alors qu'un épais smog recouvre Beijing continuellement depuis le mois d'octobre.
Les résidents se plaignent de l'échec des autorités à expliquer pourquoi la qualité de l'air est considérablement différente entre le nord et le sud de Beijing.
Lorsque le smog a immobilisé plus de 100 avions mardi dernier, la densité la plus élevée de particules inhalables dans la partie sud et centrale de la ville se situait entre 300 et 560 microgrammes par mètre cube, tandis qu'elle était de 30 à 80 dans le nord.
Le Bureau de protection environnementale de la ville a admis qu'aucune comparaison n'avait été faite entre le nord et le sud de la capitale.
Mais M. Ma affirme que la partie nord abrite de nombreux hôpitaux et universités, et est donc moins polluée par les déchets industriels et les pots d'échappement des voitures.
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