La Conférence de Copenhague nous a montré l'inconstance des relations internationales. De vifs débats ont commencé depuis le 7 décembre et n'ont toujours pas cessé. Les pays développés cherchent par tous les moyens à faiblir et à scinder les positions des pays en voie de développement. Ils trichent par exemple sur les textes de discussion, et divulguent des versions informelles et des bruits. Quelques pays développés menacent même les pays en voie de développement de renoncer au protocole de Kyoto. De plus, ils abusent de leur droit de parole et du contrôle sur l'opinion publique internationale dans un but de désinformation. Ils éludent leurs responsabilités et imputent même la faute aux pays en voie de développement tels que la Chine et l'Inde, afin de jeter la confusion durant le sommet. Sous la pression morale, les pays développés ont fait quelques promesses verbales, mais concernant les problèmes de fond, ils refusent catégoriquement ou répondent en termes ambigus. Tout cela a fortement déçu la communauté internationale.
Les pays développés ne veulent pas montrer leurs intentions politiques, au contraire, ils contrarient capricieusement le processus de la conférence. Cette dernière s'est toujours passée dans les conversations inutiles. Le changement climatique, dont aucun pays ne peut se tenir à l'écart ou refuser la responsabilité, est un nouveau problème pour l'homme. Les différends et les débats ne signifient pas que les parties ne puissent discuter à tête reposée. Il faut ralentir l'action pour arriver à un nouvel accord après des consensus suffisants, cesser les conversations inutiles et prendre des actions positives pour continuer les négociations avec sincérité et un sens des responsabilités, puis appliquer les mesures adoptées. Sur ce problème et sur le plan moral, les pays développés ne se placent pas au dessus de la mêlée et n'ont pas le droit de critiquer les autres pays. Mais leur mauvaise attitude, leurs paroles inutiles et leur inaction ont suscité le mécontentement à travers le monde.
Durant le sommet, la Chine a sérieusement exprimé sa position, sa prise en considération de l'intérêt général et ses mesures positives. En tant que pays responsable, elle protège fermement ses intérêts propres, se tenant aux côté de tous les autres pays en voie de développement, pour obtenir le droit de parole et protéger les intérêts communs. De plus, elle cherche également à encourager toutes les parties à approfondir le consensus et à réduire les désaccords. S'appliquant au succès de la conférence, la Chine a attiré les éloges des autres parties. À l'égard du changement climatique et de la réduction des émissions, la Chine tient sa parole et fait ce qu'elle a promis pour assumer la responsabilité de son développement, contribuant ainsi grandement à l'humanité. |