Dans le roman de Lu Xun « Tristesse », Zi Jun et Juan Sheng ont célébré leur mariage à Beijing. Après s'être installé dans une petite maison dans la ruelle Jizhao, ils ont été confrontés à des voisins colporteurs de ragots. Leur relation s'est effondrée à cause du découragement de Juan Sheng. Dans « Le chant de la jeunesse » qui a été publié plus tard, Lin Daojing et Yu Yongze vivaient également ensemble dans un petit appartement de style chinois à Beijing. Malheureusement, la divergence de leurs opinions politiques a finalement mis un terme à leur relation.
Ce que je veux illustrer ici, c'est que la vie urbaine et les opportunités ont permis aux gens d'accéder à l'indépendance en les libérant des jougs traditionnels. En d'autres termes, une ville est un lieu d'égalité comparative, où les forts et les faibles peuvent poursuivre leurs rêves.
Prenons également en compte les changements dans le statut social des femmes et le sort des personnes à mobilité réduite qui ont besoin d'une structure coopérative sociale pour obtenir indépendance et dignité.
J'ai participé aux discussions sur le thème du Pavillon de la Chine pour cette Exposition universelle, et il est intéressant de noter que malgré toute la diversité des idées, toutes, sans exception, sont ancrées dans la vision d'une société prospère où les gens partagent le bonheur et la prospérité.
Cela m'a rappelé des images de la famille de Deng Xiaoping, qui ont été mises en évidence lorsque notre pays a commémoré l'anniversaire de la naissance de dernier notre dirigeant national. Les images montrent comment il jouait avec ses petits-enfants et comment il profitait du bonheur qui vient de la chaleur et de l'harmonie de la maison.
Je tiens à remercier l'Expo universelle de nous avoir donné l'occasion de revoir l'histoire de la civilisation humaine, d'étudier nos objectifs et de nous rappeler une fois encore nos besoins réels.
|