Alexis Mestre (à droite), durant le vernissage.
" Je les ai tous rencontrés dans un premier temps pour la photo, puis dans un deuxième temps pour la calligraphie ", a-t-il raconté au journaliste, lors d'une interview exclusive de China.org.cn. D'après lui, le processus de création est basé sur la rencontre et la confiance avec l'artiste.
" Je cherche juste un portrait naturel qui correspond et révèle l'artiste. C'est mon idée de leur demander de faire la calligraphie, mais c'est eux qui choisissent après la prise des photos ". Évidemment, cette idée fonctionne très bien avec la calligraphie qui permet de mieux faire connaître de la nature de l'artiste. D'ailleurs, le photographe ne demande jamais aux artistes de prendre telle ou telle pose.
En réponse à la question sur le développement de la photo chinoise, il explique que la Chine l'inspire tous les jours, et qu'il y a de plus en plus de photographes. " C'est un art de plus en plus reconnu en Chine ".
Après avoir, dans un premier temps, achevé sa série de portraits, il travaillera sur un projet concernant les agriculteurs. Peut-être en mélangeant la photo avec le son et la musique, en cherchant de nouveau à se dépasser.
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