La Chine assure la protection des droits de l’homme

Tout le monde ne sait peut-être pas que la Chine, même si elle dispose du réseau de transport ferroviaire à grande vitesse le plus développé au monde, continue d’opérer à des tarifs extrêmement bas 81 services de trains à moins grande vitesse dans les régions moins développées.

Ces services, opérant dans 21 provinces et régions et 35 zones habitées principalement par des minorités ethniques, n’ont pas vocation à être rentables, mais aident les personnes dans ces zones à vendre leurs produits agricoles, à trouver des emplois mieux rémunérés, à poursuivre une meilleure éducation et à améliorer leur vie.

La capacité à tirer parti de ces trains bon marché est l’un des nombreux exemples de la façon dont la Chine œuvre à garantir les droits de l’homme. L’approche de la Chine est de promouvoir un développement global des droits de l’homme et de protéger de manière effective les droits et intérêts des groupes vulnérables, en ne laissant personne derrière.

Comme l’indique un livre blanc publié en 2019 et intitulé A la recherche du bonheur pour le peuple : 70 années de progrès sur les droits de l’homme en Chine, vivre une vie heureuse, pourvoir à ses besoins quotidiens et être capable de réaliser son développement constituent des droits de l’homme primaires et fondamentaux.

Le concept des droits de l’homme de la Chine est réaliste. Le pays développe ses politiques en se basant sur les besoins réels de la population, allant des plus basiques (la nourriture et la santé) aux plus complexes (l’éducation, la technologie et la culture), remarque John Ross, un chercheur de l’Institut Chongyang pour les études financières affilié à l’Université Renmin de Chine et l’ancien directeur de la politique économique et des affaires pour le maire de Londres.

« Le système des droits de l’homme de la Chine est déterminé par ses résultats réels, incluant l’amélioration de la vie réelle de la population, et non par des critères purement formels, artificiels et par conséquent trompeurs. C’est la raison pour laquelle la Chine l’emporte dans les discussions internationales réelles sur les droits de l’homme », explique-t-il.

La Chine considère la pauvreté comme l’obstacle le plus important dans ses efforts pour assurer les droits de l’homme au peuple chinois. Afin de résoudre ce problème, elle a lancé une campagne de réduction ciblée de la pauvreté, laquelle s’est engagée à éliminer l’extrême pauvreté dans les zones rurales d’ici la fin de 2020.

Hannes Fellner, un professeur de l’Université de Vienne, note que cette campagne, qui a tiré près de 100 millions de personnes de la pauvreté, est « l’un des plus grands accomplissements en matière de droits de l’homme dans l’histoire de l’humanité ».

La Chine a réalisé des progrès remarquables par d’autres moyens, notamment en garantissant les droits de sa population à travailler et à recevoir une éducation. Elle a accordé une grande importance à la protection des droits des femmes, des groupes ethniques et des personnes handicapées, et elle a promu une protection des droits de l’homme basée sur la loi, selon un livre blanc publié en 2017 et intitulé Nouveaux progrès dans la protection légale des droits de l’homme en Chine.

D’après Zhang Yonghe, le doyen exécutif de l’Institut de recherche sur les droits de l’homme de l’Université de sciences politiques et droit du Sud-Ouest, l’approche chinoise de protection des droits de l’homme centrée sur les individus est adaptée au développement du pays, lequel n’a aucun intérêt à imiter les nations occidentales à cet égard. A l’avenir, le pays va continuer à apporter sa contribution de sagesse chinoise pour promouvoir la protection des droits de l’homme.