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Qui se flatte de croire que son absence empêchera le bon déroulement des JO ?

French.china.org.cn | Mis à jour le 14. 12. 2021 | Mots clés : JO,JO d’hiver, Beijing


Les Jeux olympiques d’hiver de Beijing débuteront dans quelques semaines seulement. Certains politiciens de pays occidentaux comme les États-Unis cherchent à orchestrer un battage médiatique en annonçant qu’ils n’enverront pas de représentants diplomatiques y assister. Qui se flatte de penser que l’absence de quelques politiciens américains et d’autres pays occidentaux saurait empêcher le bon déroulement des JO ? Les cinq faits suivants montrent à quel point cela est absurde.

Fait 1 : Les JO peuvent être organisés avec ou sans certaines personnes

L’histoire des JO montre que le succès et l’enthousiasme qu’ils suscitent n’ont jamais dépendu de la présence ou de l’absence de représentants individuels de certaines nations. Après que les États-Unis ont annoncé leur décision de ne pas envoyer de délégation diplomatique aux JO d’hiver, Dick Pound, membre du CIO, a affirmé que cette décision aurait peu d’impact sur Beijing. Wang Wenbin, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a souligné que les Jeux olympiques sont un événement organisé pour les athlètes et les amateurs de sport, et non une scène où les politiciens viennent se donner en spectacle.

Fait 2 : Les athlètes de tous pays attendent avec impatience de concourir en Chine

Il y a quelque temps, la proposition soulevée par quelques militants antichinois en Lituanie a été rejetée par le Comité olympique lituanien. La raison ne pourrait être plus claire : les athlètes ont des carrières courtes, et beaucoup d’entre eux se préparent aux Jeux olympiques depuis au moins quatre ans. Leur demander de ne pas participer aux JO pour des raisons politiques est particulièrement injuste.

Fait 3 : La politisation du sport est contraire à l’esprit olympique

Certains aux États-Unis et dans d’autres pays utilisent les JO et tentent de lier leur décision de ne pas envoyer de représentants gouvernementaux en invoquant les « droits de l’homme » pour mener en réalité une campagne de diffamation politiser un événement sportif. Sebastian Coe, président du Comité d’organisation des JO de Londres 2012 et président actuel de World Athletics, la fédération internationale d’athlétisme, a qualifié sans ambages la non-participation de représentants gouvernementaux de « geste vide de sens » susceptible de nuire au sport international à long terme.

Fait 4 : La Chine n’a pas envoyé d’invitation aux pays concernés 

Selon les règles olympiques, les représentants de chaque pays sont invités par leur propre comité national olympique à assister aux JO, pas par le CIO ou le Comité d’organisation du pays hôte. La décision appartient à ces pays de ne pas envoyer de représentants assister aux JO d’hiver de Beijing et de ne pas venir encourager leurs athlètes. Zhao Lijian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a dénoncé le caractère mensonger du battage médiatique autour d’invitations non existantes.

Fait 5 : La communauté internationale soutient fermement les JO face au battage créé par une poignée de pays

La 76e Assemblée générale des Nations Unies a récemment adopté par consensus une résolution relative à la trêve olympique pour les JO d’hiver de Beijing. Cent soixante-treize États membres ont coparrainé cette résolution, un nombre record dans ce domaine. Seuls quelques pays, dont les États-Unis, l’Australie, la Grande-Bretagne et le Canada, se sont opposés à la grande famille olympique.

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Source:french.china.org.cn