Les contributions du PCC aux droits de l’Homme réfutent les critiques occidentales

Jeudi, une conférence internationale sur le Parti communiste de Chine (PCC) et les progrès des droits de l’Homme en Chine s’est déroulée à Changchun, la capitale de la province de Jilin (nord-est), au cours de laquelle les contributions et les expériences du PCC dans la promotion des droits de l’Homme en Chine ont été présentées avec confiance.

Cette conférence était parrainée par la Société de Chine pour l’étude des droits de l’Homme et le Département de la communication du Comité du PCC pour la province de Jilin, et organisée par l’Université de Jilin.

Des chercheurs et des journalistes étrangers de plus de 20 pays, incluant les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, l’Egypte, la Colombie et Singapour, et des organisations internationales, ainsi que des responsables politiques et des représentants chinois, ont participé à cette conférence par liaison vidéo ou sur place.

Qiangba Puncog, le vice-président du Comité permanent de la XIIe Assemblée populaire nationale (APN) de Chine et président de la Société de Chine pour l’étude des droits de l’Homme, a indiqué lors de la cérémonie d’ouverture qu’avec les profonds changements enregistrés au cours du siècle écoulé, le paradigme occidental traditionnel sur les droits de l’homme ne pouvait plus apporter de réponses et d’explications satisfaisantes. Selon lui, la communauté internationale accorde une haute attention à l’initiative et aux plans de la Chine.

« La question des droits de l’Homme est par ailleurs un "outil politique" pour les Etats-Unis et leurs alliés occidentaux, afin d’interférer dans les affaires internes de la Chine et d’endiguer son développement. Cela n’a jamais changé. La lutte sur la question des droits de l’homme à laquelle nous sommes confrontés deviendra de plus en plus intense et complexe », a-t-il déclaré.

Qiangba Puncog a souligné que la lutte du PCC pour préserver et promouvoir les droits de l’Homme en Chine au cours des 100 dernières années constituait le fait le plus convaincant pour parler en toute confiance en faveur de la Chine sur la question des droits de l’Homme.

Les droits de l’Homme au Xinjiang concernant les Ouïgours et les musulmans ont été mentionnés à plusieurs reprises lors de cette conférence et un grand nombre de participants étrangers ont partagé leurs opinions pour parler de manière équitable des efforts de la Chine dans la promotion des droits de l’Homme et réfuter la diabolisation et la stigmatisation de la Chine par l’Occident.

Tom Zwart, le directeur du Centre interculturel des droits de l’Homme à l’Université libre d’Amsterdam (Vrije Universiteit), a indiqué lors de la cérémonie d’ouverture que la Chine avait tenté d’établir une relation harmonieuse avec les Ouïgours et les musulmans de Chine, mais que cette relation avait été menacée pet interrompue par des groupes terroristes et qu’un grand nombre de citoyens chinois avaient été attaqués.

Ce genre de situation n’a pas seulement eu lieu en Chine, mais également dans de nombreuses régions à travers le monde, a-t-il fait remarquer, ajoutant que la lutte contre le terrorisme représentait un défi mondial et qu’un grand nombre de pays européens et d’organisations islamiques discutaient également de ce sujet.

Selon Tom Zwart, il est important d’aider la jeunesse musulmane à se tenir à l’écart de pensées néfastes pouvant les entraîner sur la mauvaise voie et son institut réalise des projets à cet égard. Il a encouragé les Musulmans chinois à se joindre à ces projets.

Un grand nombre de participants issus de domaines différents, incluant les affaires étrangères et légales, les cercles académiques et la santé publique, ont également prononcé des discours pour présenter les pensées et les expériences de la Chine dans la préservation et la promotion des progrès des droits de l’homme, avec des exemples incluant la lutte contre le Covid-19, la gouvernance sociale et les affaires judiciaires.