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Les réalisations du Xinjiang impressionnent les diplomates étrangers en visite

French.china.org.cn | Mis à jour le 03. 04. 2021 | Mots clés : Xinjiang,diplomates étrangers

Après avoir parcouru la région, des diplomates étrangers ont salué en termes élogieux le développement du Xinjiang et appelé à davantage de coopération mondiale plutôt qu'à la diffamation, à l'unilatéralisme et à l'hégémonisme.

Dans un contexte d’attaques de certains pays occidentaux pour de soi-disant motifs de droits de l’homme, le gouvernement de la région autonome ouïghoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) s'est entretenu le 2 avril à Urumqi, la capitale régionale, avec plus de 30 diplomates étrangers sur le développement de la région.

« Le Xinjiang, ainsi que le reste de la Chine, joue un rôle important dans la sécurité et la stabilité de l'OCS et de ses pays membres », a déclaré vendredi le secrétaire général de l'Organisation de coopération de Shanghai, Vladimir Norov, après une visite dans le Xinjiang, ajoutant que la région a fait un bon travail dans la lutte contre l'extrémisme et le terrorisme. « Je crois que le Xinjiang fera des progrès plus grands encore dans son développement social et économique », a-t-il ajouté.

L'ambassadeur du Pakistan en Chine, Moin ul Haque, a pour sa part déclaré qu'il avait été témoin de la liberté religieuse dont jouissent les habitants du Xinjiang lors de sa visite sur le terrain, et que les développements de la région dans les transports et l'agriculture l'ont profondément impressionné. « Les êtres humains sont confrontés à de nombreux défis et ce dont nous avons besoin, c'est de coopération, pas de diffamation, d'unilatéralisme ou d'hégémonisme », a-t-il noté.

Shohrat Zakir, président du gouvernement régional du Xinjiang, a indiqué qu'il se réjouirait de l'arrivée d'un plus grand nombre de personnes visitant la région afin qu’ils puissent découvrir le vrai Xinjiang.

Selon M. Zakir, la situation générale au Xinjiang est stable et continue de s'améliorer régulièrement, et « les habitants de la région jouissent d'une vie stable et meilleure ces dernières années, avec un sentiment d'épanouissement, de sécurité et de bonheur toujours plus fort ».

Ainsi, grâce aux efforts conjoints des autorités centrales et régionales et aux mesures efficaces prises, a-t-il aussi souligné, il n'y a pas eu d'attentats terroristes au Xinjiang au cours des quatre dernières années.

Le Xinjiang est la plus grande région administrative de province de Chine, avec plus de 25 millions de personnes appartenant à des groupes ethniques tels que les Han, les Ouïghours et les Hui.

« Le Xinjiang connaît le meilleur moment de développement de son histoire », a-t-il affirmé, informant les envoyés des progrès de l'économie locale ainsi que de la lutte contre la pauvreté et des politiques religieuses. De 2010 à 2018, la population ouïghoure du Xinjiang est passée de 10,17 millions à 12,72 millions, soit une augmentation de 25,04%, a indiqué le chef régional.

De son côté, la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Hua Chunying, a déclaré le 2 avril que le Xinjiang est un lieu ouvert et que les étrangers y sont les bienvenus. Ce que les diplomates ont vu prouve qu'il n'y a pas de violation des droits de l'homme, de discrimination religieuse, de travail forcé ou de génocide dans la région, a déclaré Mme Hua, ajoutant que l'intention derrière de telles accusations était de créer le chaos au Xinjiang afin de contenir le développement de la Chine, et notant qu’au cours de leur visite, les diplomates ont estimé que le Xinjiang jouissait désormais de la stabilité sociale, du développement économique et de la solidarité ethnique.

Bakri Sopur, un Ouïghour qui cultive du coton sur 13,3 hectares dans la préfecture d'Aksu au Xinjiang, gagne environ 200 000 yuans (25 872 euros) par an.

« Quand j'ai entendu les rumeurs sur le travail forcé, j'ai été choqué. C'est complètement absurde », a-t-il dit aux diplomates. L’agriculteur a également raconté qu'il avait autrefois l'habitude d'embaucher des aides pour ramasser le coton pendant les saisons de récolte. Mais maintenant, la plupart des travaux sont effectués par des machines. « Mes aides peuvent gagner plus de 10 000 yuans (1 293 euros) en deux mois et de nombreux volontaires se disputent les emplois. Je n'ai besoin de forcer personne », a-t-il conclu.

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Source:french.china.org.cn