Un vent de romantisme souffle sur Beijing ! Le 17 mars, un poème d'amour a été projeté dans plusieurs lieux phares de la capitale chinoise.
« C'est moi que tu me vois à travers cette lettre. Tout va bien ? Je suis de retour. Pardonne mes caprices, mes adieux il y a longtemps. Mon cœur n'a pas changé, depuis 18 ans. Je fais de moi une meilleure personne, pour t'accompagner toute une vie. »
Les vers du poème ont été projetés ce soir-là sur plusieurs sites emblématiques de Beijing, dont l'église de Wangfujing, Deshengmen, la tour du Tambour (Gulou), la tour de la Cloche (Zhonglou), la Cité interdite et les ruines de la Grande-Muraille de l'époque des Ming, illuminant la nuit.
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