A Heiyoushan (colline du pétrole noir) au nord-est de Karamay, les diplomates ont admiré le miracle de la source d'où le pétrole jaillit de lui-même toute l'année. Dans la rue culturelle, ils ont discuté avec les citadins et assisté à des opéras locaux dans une maison culturelle. Ils ont assisté à une course de chevaux sur le banc de désert, sont entrés dans des yourtes et dans la « cité des démons ».
« La Chine, un grand pays en matière de réserves et de consommation énergétique, fait toujours l'objet de l'attention mondiale dans l'utilisation des ressources et l'environnement. Karamay sert justement de fenêtre pour montrer que l'exploitation des ressources peut coexister avec la protection de l'environnement », a déclaré Ante Simonic, ambassadeur de Croatie en Chine, lors de la cérémonie d'ouverture de la 7e édition du festival touristique international du Xinjiang organisée le 25 juin.
« A Karamay, je vois de grands accomplissements de la civilisation industrielle de Chine. Les gens qui ont bravé la rigueur de l'hiver et la chaleur torride et fait de Karamay une ville où il fait bon vivre méritent d'être estimés pour toujours », a jugé Murat Salim Esenli, l'ambassadeur de Turquie en Chine.
« C'est très beau. Les habitants semblent très heureux », a commenté Giuseppe Rao, conseiller de l'ambassade d'Italie en Chine, en prenant des photos sans cesse.
« Bien que Karamay soit une ville bâtie dans le désert, elle est devenue un jardin prospère où le peuple mène une vie heureuse », a dit Frantisek Dlhopolcek, l'ambassadeur de Slovaquie en Chine.
Au nom de toutes les ambassades étrangères en Chine, l'ambassadeur de Portugal a décerné la distinction honorifique de « Première ville touristique de la culture du pétrole de Chine la plus digne d'être recommandée par les ambassades dans le monde ».
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