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Le « problème du Tibet » ne concerne aucunement les droits de l'homme

Depuis les années 50 et 60 du siècle dernier, la clique du Dalai Lama se rendait fréquemment en Europe et aux Etats-Unis pour faire sans discontinue de la propagande sur le soi-disant « problème des droits de l'homme au Tibet ». Et les « droits de l'homme » sont devenus pour elle un atout qu'elle utilisait comme un arme pour attirer l'attention de la communauté internationale sur le soi-disant « problème du Tibet » et pour l'appeler à s'en préoccuper.

Alors, le « problème du Tibet » concerne-t-il vraiment les droits de l'homme ?

Quant aux droits de l'homme, il est indiqué clairement et explicitement dans la « Déclaration universelle des droits de l'homme » que « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignités et en droits » et que « Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude ; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdites sous toutes leurs formes ».

Mais dans l'ancien Tibet dominé par la clique du Damai Lama c'était tout le contraire de cela. La société y était divisée en trois classes et en neuf catégories. Les seigneurs aristocrates, les propriétaires de serfs et les membres du haut clergé, dont le nombre représentait moins de 5% de la population totale tibétaine dominait les gens du peuple constitués principalement de serfs qui représentaient plus de 95% de la population totale. Ces derniers étaient soumis au servage et n'avaient aucune liberté et étaient cruellement et férocement opprimés sur le plan économique, politique et moral. Leur droit d'existence n'était même pas assuré ni garanti. La tibétologue française Alexandra David-Néel a écrit un livre sur le Tibet dans le quel il est indiqué que dans l'ancien Tibet les serfs « n'ont aucune liberté ». C'était seulement près la libération pacifique du Tibet que ces derniers dont le nombre dépassait les millions ont pu jouir de la démocratie, de la liberté et des droits de l'homme.

La transformation des serfs en maître du pays et de son destin est appelée « violation des droits de l'homme » ! Pourrait-il avoir des propos aussi stupides, absurdes et insensés dans le monde ? Si on insiste que certains ont été dépourvus de leurs droits au Tibet, alors c'était seulement le petit nombre le petit nombre de propriétaires de serfs ayant comme représentante la clique du Dalai Lama qui ont été privés de leurs « privilèges » et de leur autorité absolue de laisser en vie ou de mettre à mort selon leur plaisir les serfs qu'ils considéraient comme des animaux qui savaient parler ! En réalité, au lieu de se soucier du « problème des droits de l'homme au Tibet » qui est complètement infondé et forgé, la clique du Dalai Lama a des choses de mieux à faire et c'est de régler son problème intérieur concernant les droits de l'homme. Ladite clique est composée principalement d'anciens seigneurs aristocrates, d'anciens propriétaires de serfs et de membre du haut clergé qui sont représentés par la famille du Dalai Lama, tandis que les Tibétains ignares et accoutumés à l'obéissance qui les ont suivis stupidement et sottement en exil se trouvent en fait dans l'état de servage. La plupart de ces derniers habitent à Dharamsala, en Inde, dans des taudis et des bidonvilles. Ignorants et incultes à l'extrême, ils souffrent énormément de la difficulté de communication avec les habitants locaux et ils ressentent un isolement insupportable. Ce qui ajoute à leur malheur, à leur infortune et à leur misère, c'est qu'ils doivent verser régulièrement au « gouvernement en exil » toutes sortes d'impôts, de taxes, de contributions et de cotisations, dont le « Taxe pour l'indépendance ». Il n'est pas question pour eux de solliciter les droits de l'homme, car ils sont considérés comme des bêtes sachant marcher et parler. La clique du Dalai Lama s'était-elle intéressée un tout petit peu à leur sort ? Non, jamais !

Il est indiqué dans la « Déclaration sur le droit au développement » adoptée par l'ONU : « Le droit de développement est un droit de l'homme qu'on ne peut priver ». Depuis la libération pacifique du Tibet, son économie s'est accrue continuellement et a maintenu un rythme de croissance de 12%. Le gouvernement a appliqué à l'égard des agriculteurs et des pasteurs des mesures politiques préférentielles, dont soins médicaux gratuits, exempt de frais scolaires et frais divers pour les enfants de ces derniers, lesquels bénéficient en plus du logement gratuit et de la nourriture gratuite. De plus en plus de gens du peuple de la nation tibétaine possède maintenant leur logement privé et cette réalité progresse à une rapidité jamais atteinte dans toute l'histoire du Tibet.

Revenons à la clique du Dalai Lama qui saisit toute occasion pour faire la propagande des « droits de l'homme », voyons ce qu'elle avait fait pour le développement du Tibet. Non seulement elle n'avait rien fait ni apporter aucune contribution, au contraire elle a fait son possible pour nuire et pour porter atteinte aux droits et aux intérêts des habitants de diverses nationalités qui résident au Tibet et pour leur créer des problèmes. Auparavant, elle envoyait des éléments armés pour harceler les habitants frontaliers et les empêcher de vivre et de travailler dans la tranquillité et la quiétude. Ces dernières années, elle a accentué ses sabotages en envoyant des activistes séparatistes et indépendantistes qui passaient secrètement les frontières et s'introduisaient à l'intérieur du territoire tibétain pour fomenter, comploter et organiser des troubles et des incidents afin de saper les droits d'existence et de développement du peuple tibétain.

La raison pour laquelle la clique du Dalai Lama s'acharne à propager outrancièrement le « problème des droits de l'homme au Tibet », c'est parce que ce genre de « sujet à la mode » suscitera certainement « l'indignation juste et sévère » de certains politiciens occidentaux qui lui accordera tout leur soutien et pourra en même temps duper et berner le public occidental qui ignore la vérité. Tout en brandissant le drapeau de « défenseur des droits de l'homme », elle ne souffle mot de l'état des droits essentiels de l'homme dans l'ancien Tibet où ces droits des masses populaires étaient foulés au pied et déploie au contraire toutes ses forces pour dénigrer et diffamer les succès obtenus et les progrès réaliser par le nouveau Tibet. Le savant russe a déclaré à cet effet : « En désignant le Dalai Lama, qui était un oppresseur tyrannique opprimait impitoyablement les anciens serfs tibétains, en tant que 'défenseur des droits de l'homme' et les autres propos semblables, il n'y a seulement que trois possibilités : ignorance, cynisme ou reniement de l'équité pour raison personnelle égoïste ». Le célèbre tibétologue canadien Tom Grunfeld qui est l'auteur de l'ouvrage « Genèse du Tibet moderne » a indiqué que « la révolution tibétaine de 1959 était en effet une rébellion de serfs contre leurs maîtres » et « que les parallèles entre le Tibet et l'Europe médiévale sont saisissantes ». Il est allé droit au fond du problème en insistant : l'intérêt anormal de certains pour le « problème des droits de l'homme au Tibet » n'est pas dicté par la « morale » ni par la « sympathie », la vérité c'est pour les « besoins subordonnés à leurs dispositions stratégiques mondiales ».

Le bruyant tapage sur les « droits de l'homme au Tibet » en vue d'exciter le sentiment national étroit et mesquin, d'obtenir le soutien de l'Occident et de diviser la Chine et réaliser l'« indépendance tibétaine ». C'est ainsi qu'on dévoile la réelle intention de la clique du Dalai Lama qui propage partout le « problème des droits de l'homme au Tibet » pour pouvoir atteindre en fin de compte son véritable objectif.

Peopledaily     2008/05/01

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