Les trois carcasses de cheval
provenant d'abattoirs du Royaume-Uni et contenant des traces de
phénylbutazone ont été identifiées, ne sont pas entrées dans la
chaîne alimentaire humaine et "seront détruites", a déclaré jeudi
le ministre français de l'Agriculture, Stéphane Le Foll.
"Elles ne sont pas rentrées dans la
chaîne alimentaire", a affirmé Stéphane Le Foll devant des
journalistes, ajoutant que les caracasses ont été identifiées dans
le Pas-de-Calais.
C'est une "seconde affaire", "qui
n'a rien à voir" avec le scandale européen de la viande de cheval
faussement estampillée boeuf dans des plats préparés, a souligné M.
Le Foll.
Plusieurs carcasses de cheval
provenant d'abattoirs du Royaume- Uni et contenant des traces de
phénylbutazone, un anti- inflammatoire potentiellement nocif pour
la santé humaine, ont été envoyées en France et sont "peut-être
entrées dans la chaîne alimentaire", avaient prévenu plus tôt,
jeudi, les autorités britanniques. F
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