Le gouvernement libyen a nié vendredi avoir utilisé des bombes à fragmentation pour combattre les rebelles dans les districts résidentiels.
Le gouvernement libyen n'utiliserait absolument pas ces armes contre son propre peuple, a indiqué le porte-parole du gouvernement Ibrahim Moussa.
L'organisation Human Rights Watch a déclaré vendredi que les forces gouvernementales libyennes avaient bombardé des zones civiles à Misurata avec des bombes à fragmentation, à au moins trois reprises.
L'organisation des droits de l'homme a également précisé que de telles bombes avaient explosé près d'un hôpital local. |