"Tant qu'il sera présent dans le palais impérial, il posera un défi à notre culture traditionnelle," a ajouté Jiang.
Rui Chenggang, un présentateur d'information pour la Télévision Centrale de Chine (CCTV) a demandé à Starbucks de se retirer de la Cité Interdite dans un blog en janvier de cette année, lequel a reçu le soutien de plus d'un demi million de "netoyens" (citoyens du net).
En réponse au boycott en ligne, la direction du musée a promis de trouver une solution avec la direction du Starbucks d'ici la fin juin.
Cet établissement Starbucks a ouvert ses portes en 2000 parmi les protestations de « Non » du public.
Le loyer payé par Starbucks est utilisé pour l'entretien du palais, selon les gestionnaires du muséum.
"Mais nous devrions savoir que tout ne peut pas s'acheter avec de l'argent, même sur le marché économique. La cité Interdite est un des produits non achetable étant donné qu'il n'a pas de prix" a expliqué Jiang.
Recouvrant plus de 72 000 mètres carrés dans le centre de Pékin, la Cité Interdite a représenté la résidence de 24 empereurs avant la fin du règne impérial en 1911. Elle est classée en tant que Patrimoine Mondiale par l'Organisation pour l'Education, la Culture et la Science des Nations Unies en 1987.
Le musée est un site touristique majeur de la capitale, et a reçu cette année environ 7 millions de visiteurs.
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