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République de Corée : le président par intérim accepte la démission du chef de la sécurité présidentielle

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French.china.org.cn | Mis à jour le 10-01-2025
Agence de presse Xinhua | 10. 01. 2025

Le président sud-coréen par intérim a accepté vendredi la démission du chef de la sécurité présidentielle qui a comparu devant la police pour être interrogé sur l'obstruction à l'exécution de l'arrestation du président destitué Yoon Suk-yeol.

Le ministre de l'Economie et des Finances Choi Sang-mok, qui est devenu président par intérim après la destitution de M. Yoon et du Premier ministre, a accepté la démission de Park Jong-joon, chef du service de sécurité présidentielle, plus tôt dans la journée, selon le bureau de M. Choi.

Avant de se présenter au Bureau national d'enquête (NOI) pour y être interrogé, M. Park a présenté sa démission par l'intermédiaire de son secrétariat.

La police lui a envoyé sa troisième convocation en début de semaine après son refus de se présenter les 4 et 7 janvier.

M. Park a été inculpé d'obstruction à l'exécution d'affaires publiques spéciales.

Les enquêteurs ont tenté d'arrêter le président destitué dans la résidence présidentielle le 3 janvier, mais l'opération a échoué, car le service de sécurité présidentielle a bloqué l'exécution du mandat d'arrêt.

Un tribunal de Séoul a accordé l'extension du mandat d'arrêt contre M. Yoon mardi en émettant un deuxième mandat contre lui.

La motion de destitution contre M. Yoon a été adoptée à l'Assemblée nationale le 14 décembre et a été remise à la Cour constitutionnelle pour qu'elle en délibère pendant 180 jours, durant lesquels le pouvoir présidentiel de M. Yoon est suspendu.

M. Yoon, qui a été désigné par les agences d'enquête comme meneur présumé d'une insurrection, a déclaré la loi martiale dans la nuit du 3 décembre, mais elle a été révoquée par l'Assemblée nationale quelques heures plus tard.

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Source: Agence de presse Xinhua
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