Les Jeux d'hiver de Beijing 2022 ont permis aux athlètes de vivre une expérience olympique "sûre" et "accueillante", ce qui n'est pas une mince affaire dans le contexte de la pandémie, selon l'olympienne équatorienne Sarah Escobar.
Mme Escobar, une skieuse alpine qui est devenue la première Equatorienne à participer aux Jeux olympiques d'hiver, a déclaré à Xinhua qu'elle espérait que son premier voyage en Chine ne serait pas son dernier.
"C'est la première fois que je viens en Chine. Je l'adore, je l'adore. Je veux revenir", a affirmé la jeune femme de 20 ans, l'une des plus jeunes athlètes des Jeux.
"Ils savent comment faire une très bonne première impression - tout est tellement organisé", a-t-elle témoigné.
"Tous les bénévoles chinois sont si prévenants, si serviables et si prêts à se servir de tous les athlètes. Ils travaillent si dur pour que nous nous sentions en sécurité, accueillis et chez nous", a ajouté la jeune femme.
Mme Escobar est née aux Etats-Unis de parents équatoriens, et a commencé à skier à l'âge de trois ans, lors d'un voyage familial dans une station de ski de l'Etat américain du Vermont.
En 2020, elle a participé aux Jeux olympiques de jeunesse d'hiver en Suisse, et cette fois, elle a concouru dans le slalom géant féminin au Centre national de ski alpin de Yanqing, se classant 60e dans la première manche mais ne pouvant pas terminer la seconde.
Mme Escobar a souligné que l'expérience avait été inoubliable et inestimable, car elle considère Beijing comme un tremplin vers de plus grandes réalisations olympiques.
"En participant à ces Jeux olympiques, mon objectif était d'apprendre des meilleurs athlètes ici, en prenant cela comme une sorte d'expérience d'entraînement et d'échauffement pour me préparer aux prochains Jeux olympiques d'hiver, afin de représenter à nouveau mon pays", a dit celle qui a porté le drapeau de l'Equateur dans le stade national de Beijing lors de la cérémonie d'ouverture.