Voici les principales informations à la Une de journaux nationaux français parus jeudi :
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LE MONDE
Iran-Etats-Unis : récit de trois mois de provocations
"Pression maximale" contre "résistance maximale" : Washington et Téhéran se livrent à une surenchère autour de l'accord nucléaire signé en 2015. Embargo pétrolier, arraisonnements de tankers, arrestations d'Occidentaux : "Le Monde" revient sur des semaines d'une dangereuse escalade. Jusqu'où ira le face-à-face ? Pour l'heure, aucun des deux pays ne veut prendre la responsabilité du premier mort et d'un conit ouvert. En Iran, l'économie est exsangue mais le régime prote de la pression américaine pour bloquer tout processus de libéralisation interne.
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LE FIGARO
Polémiques, défiance : le grand blues des politiques
La montée des violences et les excès de la transparence s'ajoutent au sentiment de dépossession qui touche les élus. Usés, certains renoncent à leur engagement. C'est la porte d'un ministère enfoncée à l'aide d'un engin de chantier, c'est une secrétaire d'Etat réveillée en pleine nuit par des manifestants hostiles, c'est une permanence de député aspergée d'essence, c'est une insulte raciste à l'encontre d'une élue diffusée sur les réseaux sociaux... Autant de symboles de la montée des violences à l'encontre de la classe politique depuis le début de la crise des "gilets jaunes". Pris régulièrement pour cibles, les élus doivent aussi faire face à la suspicion permanente alimentée par une quête de transparence absolue, couplée à un sentiment de perte de pouvoirs. De quoi décourager les plus chevronnés. Ainsi, un maire sur deux ne compte pas se représenter aux élections municipales de mars 2019. Preuve de cette tentation de Venise qui touche de plein fouet le personnel politique.
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LES ECHOS
Société Générale renforce sa solidité financière et rassure les investisseurs
Grâce à un ratio de fonds propres CET1 qui atteint désormais 12%, Société Générale gagne près de 5% en Bourse. Pénalisé par la hausse de son coût du risque et par des charges de restructuration, son résultat net recule toutefois de 13,9 %, à 1,054 milliard d'euros au deuxième trimestre.
