La Nouvelle-Zélande a célébré vendredi dernier 9 juillet la fête de son pavillon national avec des représentations exécutées par des jeunes artistes parmi les plus prometteurs du pays au centre de l'Expo à 17h et 20h.
La brillante jeune soprano Aivale Cole, née à Wellington, la compagnie de danse Footnote, Moana Maniapoto and Tribe et le NZTrio ont donné des représentations.
Le programme de représentations culturel présentera une « image comtemporaine positive et sophistiquée » du pays et de son peuple, selon son responsable Dilys Grant.
Cole a remporté de nombreux prix et remporté la Lexus Song Quest l'année dernière. Elle est déjà en train de gagner une réputation internationale et est reconnue comme l'un des chanteurs les plus prometteurs que la Nouvelle-Zélande ait produit.
La compagnie de danse Footnote, sous la direction de l'icône de danse Dierdre Tarrant, est un groupe de danseurs contemporains basé à Wellington. Ils ont donné une représentation de « Purlieu », spécialement accrédité pour l'Expo et chorégraphié par Malia Johnston, sur une musique composée par Eden Mulholland.
La pièce explore la préciosité et la précarité des petits espaces, un thème en rapport avec celui de l'Expo « meilleure ville, meilleure vie ».
La légende néo-zélandaise veut que le dieu Tane ait séparé ses parents, le Ciel et la Terre, afin de créer le monde. Cette histoire créée par les Maori est présentée dans le pavillon dont le thème est « Villes de nature : Vivre entre la Terre et le Ciel ».
Le pavillon en forme de coin de 2000 mètres carrés développe cette histoire dans une pièce en trois actes recouvrant la place, l'intérieur et le jardin sur toit.
Les visiteurs expérimentent un jour de vie dans une ville composite de Nouvelle-Zélande, en commençant par la mer et passant par les banlieues et le centre-ville jusque vers les montagnes extérieures.
Le pavillon de la Nouvelle-Zélande se trouve dans la zone B, près des pavillons de la Malaisie et du Cambodge. |