Une porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a réfuté, mercredi, un rapport annuel des Etats-Unis sur les droits de l'homme, indiquant que le soi-disant "génocide" au Xinjiang était une pure diffamation de la politique ethnique de la Chine et des réalisations du Xinjiang en matière de développement.
Le soi-disant "génocide" est une invention absurde qui viole le droit international, a indiqué la porte-parole Hua Chunying lors d'un point de presse, en réponse à une question sur le sujet.
Elle a indiqué que la confirmation d'un génocide devait passer par des procédures juridiques strictes et faisant autorité et résister à l'épreuve des faits et de l'histoire.
"Aucun pays, aucune organisation, ni aucun individu n'a le droit ni le pouvoir de déterminer arbitrairement si un Etat est coupable ou non de génocide", a indiqué Mme Hua, ajoutant qu'aucun pays ne pouvait utiliser cette accusation pour étiqueter les autres dans les relations internationales.
De nombreux faits ont prouvé que le prétendu "rapport" cité sans cesse par les Etats-Unis est empli de fausses informations concoctées par Adrian Zenz et que les soi-disant "témoins" ne sont que des "acteurs" formés, a poursuivi la porte-parole. Elle a ajouté que certains médias avaient joué le rôle d'"amplificateurs" et de "diffuseurs de rumeurs" dans ce processus.
"Leur farce embarrassante est pleine de failles et a été réfutée par de nombreux moyens, non seulement par la région chinoise du Xinjiang, mais aussi par des personnalités étrangères, dont certaines aux Etats-Unis", a-t-elle indiqué.
Selon la porte-parole, les groupes ethniques minoritaires en Chine vivent une vie plus heureuse, jouissant de plus d'égalité et de dignité. Leur vie est bien meilleure que celle des minorités ethniques aux Etats-Unis.
Les Etats-Unis ne sont pas qualifiés pour condamner les droits de l'homme de la Chine, a déclaré la porte-parole, ajoutant qu'il était temps de mettre fin à cette farce écrite, mise en scène et jouée par certains politiciens américains.
