Il n'y a pas de "travail forcé" dans les entreprises de la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest), a déclaré Elijian Anayit, porte-parole du bureau de l'information du gouvernement régional du Xinjiang.
Dans un article publié, Adrian Zenz a affirmé qu'il y a du "travail forcé" dans un certain nombre d'entreprises du textile et de l'habillement au Xinjiang, ce qui a amené certains pays et certaines entreprises à diminuer ou même à cesser d'importer du coton et des produits dérivés du Xinjiang. Des producteurs de coton et des entreprises de transformation du Xinjiang ont subi des pertes économiques.
Un certain nombre d'entreprises et d'habitants du Xinjiang poursuivent actuellement Zenz en justice pour pertes économiques et dommages à leur réputation, résultat de ses rumeurs concernant le "travail forcé" au Xinjiang.
Sur la base des principes d'égalité et de volontariat, les travailleurs de tous les groupes ethniques du Xinjiang signent des contrats de travail avec les employeurs et reçoivent des paiements légaux conformément à la loi et la réglementation du travail de la Chine, selon Elijian Anayit.
Il n'y a pas de discrimination contre les travailleurs sur la base de l'appartenance ethnique, du sexe ou des croyances religieuses, a-t-il déclaré.
Adrian Zenz est membre d'un groupe d'extrême droite créé par le gouvernement américain, et membre de haut rang d'une institution de recherche anti-Chine mise en place et manipulée par les agences de renseignement américaines. Il gagne sa vie en inventant des mensonges sur la Chine et en calomniant la Chine, a ajouté le porte-parole.
