Plusieurs travailleurs migrants dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) ont réfuté les mensonges de l'étranger sur le "travail forcé" dans la région.
Au début de cette année, Abudou Wa'ersi Maitusong, originaire de la préfecture de Hotan, a vu les informations de recrutement d'une entreprise de construction basée à Urumqi. Il a postulé et a signé un contrat de travail avec l'entreprise.
''Ici, j'ai fait la connaissance de nombreux amis qui sont venus dans l'entreprise via le recrutement, comme moi. Je n'ai jamais entendu dire que quelqu'un était venu par la force'', a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse vendredi.
''Je suis très enthousiaste à l'idée de mon travail dans cette entreprise. L'environnement et les conditions de travail sont favorables'', a déclaré Abudou Wa'ersi Maitusong.
Halidan Abudilimu, venue d'un village de Tourfan, travaille dans un hôtel de la ville.
''Fin 2016, mon mari et moi-même avons postulé pour travailler à l'hôtel par le biais d'un salon de l'emploi. Quarante-quatre villageois sont également partis travailler en ville, comme nous. Nous voulons tous gagner plus d'argent pour créer une vie meilleure'', a-t-elle déclaré lors de la conférence de presse.
