Un reporter de l'agence Dogan, travaillant en Chine depuis les quatre dernières années, a indiqué que le pays devait saisir la chance offerte par la crise financière globale afin de réfléchir aux profonds problèmes qui risquent d'entraver le développement de son économie, tels que le modèle de croissance, la réorganisation des secteurs, l'écart trop important des revenus entre particuliers, etc.
« Les médias et le peuple turcs sont concernés par ces problèmes, d'autant que le futur de la Chine concerne le futur de la Turquie et même du reste du monde. Des marchandises de supermarché au pétrole, la vie quotidienne des Turcs est étroitement liée à l'évolution de l'économie chinoise », a-t-il souligné.
Le journaliste a même évoqué le prix de l'immobilier en Chine. D'après lui, en tant que moteur majeur de la croissance économique du pays, le secteur immobilier pourrait orienter l'évolution de l'économie chinoise.
« Si j'avais la chance de poser une question au premier ministre Wen, je lui demanderais comment le gouvernement voit la montée en flèche du prix de l'immobilier », a-t-il déclaré.
|