The Beijing News a repris la citation de Stuart Franklin, président de l'agence de photos Magnum, affirmant que « tout photographe qui aime immortaliser l'histoire s'intéresse à la Chine ». « Chaque histoire, chaque détail qui se produit dans ce pays a une valeur inconsidérable devant l'objectif du photographe. D'autant plus que la Chine, dont la civilisation plusieurs fois millénaire unique au monde et ininterrompue, reprend de la vitalité et de la confiance. Elle qui, le siècle dernier, représentait pour le reste du monde la fermeture et le retard, semble, en l'espace d'une nuit, être devenue la troisième puissance mondiale ainsi que l'entité économique la plus effective. Partout dans le monde, la Chine est omniprésente, dans n'importe quel sujet de conversation, dans n'importe quel objet de la vie courante…Comment ne pas s'intéresser à ce pays alors même que sa population, la plus importante au monde, a connu des changements, en matière de vie et d'idéologie, rapides et spectaculaires qui s'inscrivent dans l'histoire de l'Humanité... ».
Les photos de ces photographes étrangers sont réparties en sept groupes, intitulés « Boom », « Bond », « Beauty », « BOBO », « Blues », « Bigger » et « Busy ».
1er octobre 2004, jeune fille vêtue d'un ancien costume chinois dans la Cité Interdite (Palais Impérial). Photo de David Edwards, photographe américain qui alimente régulièrement en photos la revue National Geographic.
Octobre 2007, à l'extérieur du Niz d'oiseau. Photo de Yadid Levy, photographe danois travaillant pour Anzenberger.
Fin 2007, le Niz d'oiseau de Beijing a été élu par l'hebdomadaire américain Times parmi les dix plus beaux édifices du monde