Il y a plus de 60 ans, en partant de l'intérêt général du maintien de l'unité de la patrie et de la solidarité interethnique, le gouvernement central s'est efforcé d'obtenir la coopération du XIVe dalaï-lama, afin de réaliser la libération pacifique du Tibet. En 1959, après que le XIVe dalaï-lama s'est enfui à l'étranger, le gouvernement central a fait tout ce qu'il pouvait pour lui laisser sa porte ouverte. Pourtant, celui-ci a maintes fois fait des choix à l'encontre des vœux du gouvernement central et du peuple tibétain.
– La légitimité historique du dalaï-lama provient du gouvernement central. Le XIVe dalaï-lama, au cours de la libération pacifique du Tibet, a réalisé des choses favorables, mais a fini par trahir ses propres choix acceptables.
« Dalaï-lama », ce titre du bouddha vivant du Gelugpa du bouddhisme tibétain ainsi que son statut historique et son influence sont inséparables de la reconnaissance du gouvernement central. En 1653, le Ve dalaï-lama fit une audience à l'empereur Shunzhi des Qing à Beijing. Celui-ci lui conféra le titre de dalaï-lama et lui accorda un livret d'or et un seau d'or. Dès lors, le titre et la place politique et religieuse du dalaï-lama ont pu être établis au Tibet. En 1793, la dynastie des Qing proclama la Charte du Tibet en 29 articles, définissant le système de tirage au sort par l'urne d'or concernant la réincarnation du dalaïlama. Le 5 février 1940, le gouvernement de la République de Chine a émis le déchet nº 898, par lequel il désigna l'enfant de 5 ans issu de Qijiachuan du district de Huangzhong dans la province du Qinghai, Lhamo Dhondup, comme la réincarnation du XIIIe dalaï-lama et, à la demande du gouvernement local du Tibet, décida d'épargner le tirage au sort par l'urne d'or, choisit spécialement l'enfant à être le XIVe dalaï-lama et affecta 400 000 yuans comme frais de cérémonie d'intronisation. Le 22 février, conformément au rituel historique, le délégué du gouvernement central Wu Zhongxin et Reting Rinpoche présidèrent ensemble la cérémonie d'intronisation du XIVe dalaï-lama. La légitimité de la nomination de Lhamo Dhondup en tant que XIVe dalaï-lama impute aux règles du gouvernement central relatives au système du dalaï-lama ainsi qu'à l'autorisation et à la reconnaissance du gouvernement de la République de Chine.
Après la proclamation de la République populaire de Chine en 1949, le gouvernement central a organisé et accompli de nombreuses activités politiques pour réaliser la libération pacifique du Tibet. En novembre 1950, le régent du gouvernement local du Tibet, Taktra Ngawang Sungrab, qui était favorable aux pays impérialistes et à la séparation, fut obligé de démissionner et le XIVe dalaïlama prit ainsi prématurément le pouvoir. Les dirigeants de la Chine nouvelle lui ont adressé des messages de félicitations. Emus par la politique d'égalité interethnique et le principe de libération pacifique du Tibet du gouvernement central, le XIVe dalaï-lama et le gouvernement local du Tibet dépêchèrent une délégation à Beijing, avec comme premier représentant Ngapoi Ngawang Jigme, pour faire des négociations. Après la libération pacifique du Tibet, le représentant du gouvernement populaire central au Tibet, muni d'une lettre manuscrite du dirigeant de la Chine nouvelle Mao Zedong, arriva à Yadong, petite ville chinoise située près de la frontière indienne, pour conseiller au XIVe dalaï-lama, qui observait la situation, de retourner à Lhasa. Le dirigeant de la Chine nouvelle a écrit dans sa lettre : « Cet accord correspond à la fois aux intérêts du peuple tibétain ainsi qu'à ceux de tous les peuples de la Chine. D'ores et déjà, le gouvernement local et le peuple tibétains, dans la grande famille de notre grandiose patrie, sous la direction unifiée du gouvernement populaire central, pourront se débarrasser définitivement des jougs des impérialistes et de l'oppression d'autres ethnies, se soulever et fournir des efforts pour les causes propres au peuple tibétain. J'espère que le gouvernement local tibétain que vous dirigez applique sérieusement l'accord sur les méthodes de libération pacifique du Tibet et que vous faîtes de votre mieux pour aider l'Armée populaire de libération à entrer pacifiquement dans les régions tibétaines. » Le 21 juillet, le XIVe dalaïlama se mit en route pour Lhasa. Le 24 octobre, au nom du gouvernement local du Tibet, le XIVe dalaï-lama déclara ouvertement qu'il acceptait l'Accord en 17 articles.
– Après la libération pacifique du Tibet, le gouvernement central, en respectant le statut propre au XIVe dalaï-lama, lui a accordé ses honneurs et lui a conseillé de contribuer à l'édification de la Chine nouvelle. Cependant, il agit contrairement à ce qu'il avait dit.
L'Accord en 17 articles stipule : « Les autorités centrales ne changeront pas le statut et les fonctions propres du dalaï-lama ». Après la libération pacifique du Tibet, le gouvernement central a accordé des traitements politiques très distingués au XIVe dalaï-lama. En 1953, ce dernier a été élu président honorifique de la Fédération nationale du bouddhisme. En 1954, il a participé à la première session de la Ière Assemblée populaire nationale de la République populaire de Chine au cours de laquelle il a délibéré sur les affaires importantes de l'Etat et approuvé le projet de la première Constitution du pays. Le XIVe dalaï-lama a prononcé un discours à l'occasion, délivrant un bilan positif des résultats obtenus pendant les plus de trois années d'application de l'Accord en 17 articles et s'exprimant favorablement pour le principe et les règlements sur l'autonomie des régions ethniques. « Les ennemis ont fait courir des rumeurs comme quoi le Parti communiste et le gouvernement populaire détruisent la religion. A présent, les rumeurs de ce genre ont été complètement démenties et le peuple tibétain considère qu'il bénéficie de la liberté religieuse », a-t-il ajouté. Lors de cette réunion, le XIVe dalaï-lama a été élu vice-président du Comité permanent de la Ière Assemblée populaire nationale, et il s'agissait ici des plus hautes fonctions qu'un dirigeant local tibétain ait jamais assumées au gouvernement central. Pendant son séjour à Beijing, les dirigeants de la Chine nouvelle ont reçu le XIVe dalaï-lama à diverses reprises et ont eu des conversations cordiales avec lui. Le XIVe dalaï-lama a rédigé une Ode au président Mao, où il a fait l'éloge des grands exploits de Mao Zedong, dirigeant de la Chine nouvelle. En 1956, le Comité préparatoire de la Région autonome du Tibet a été fondé et le XIVe dalaï-lama en est devenu son président. Dans le discours qu'il a prononcé lors de la fondation du Comité préparatoire, il a déclaré : L'Accord en 17 articles permet au peuple tibétain de « bénéficier pleinement de tous les droits en matière d'égalité ethnique et de s'engager sur la brillante voie de la liberté et du bonheur » ; « la fondation du Comité préparatoire de la Région autonome du Tibet est non seulement opportune, mais aussi nécessaire. » Il a positivement réagi aux questions telles que l'application de l'Accord en 17 articles, l'entrée de l'Armée populaire de libération au Tibet, le retour au Tibet du Xe panchenlama et la fondation du Comité préparatoire de la Région autonome.
Or, attiré et soutenu par les séparatistes et les forces impérialistes, le XIVe dalaï-lama a fini par se méfier des disciples et des éthiques de base des bouddhistes. Il a trompé l'attente du gouvernement central, agit contrairement à ce qu'il avait dit et s'est secrètement livré à des activités visant à séparer le Tibet de la Chine. En 1959, la clique du XIVe dalaï-lama, en vue de résister à la réforme démocratique destinée à abroger le système de servage, a détruit l'Accord en 17 articles et a déclenché une rébellion armée générale. Le gouvernement central avait alors déjà percé le double jeu du XIVe dalaï-lama. « Le complot de rébellion du dalaï-lama a commencé en 1955 après qu'il a quitté Beijing, a indiqué Mao Zedong. Entre le début de l'année 1957, où il est rentré d'Inde et 1958, il s'est pris deux ans de préparatifs ». Le XIVe dalaï-lama a avoué avec franchise la dualité de ses actes et a prétendu en 1965 que, pendant neuf années, allant de 1951 à 1959, « j'ai dit des choses comme “nous sommes heureux de pouvoir retourner dans la grande famille de la patrie et édifier la société socialiste de concert avec le peuple de cette même grande famille”, mais une phrase demeurait cachée dans mon cœur : “le Tibet veut la liberté et l'indépendance.” »
– Après la rébellion armée, le gouvernement central a fait tout ce qu'il pouvait pour le XIVe dalaï-lama. Pendant un certain temps, il a attendu avec patience, mais le XIVe dalaï-lama s'est éloigné sur la voie de la trahison de sa patrie.
Après l'éclatement de la rébellion armée au Tibet, l'Armée populaire de libération de Chine, avec la faveur et le soutien du peuple tibétain multiethnique, a promptement apaisé la rébellion. Dans un même temps, une campagne de réforme démocratique a été déclenchée. Le gouvernement central a décidé de ne pas barrer le chemin au XIVe dalaï-lama qui avait décidé de s'enfuir et, pour lui accorder un temps de délai, a prétendu qu'il avait été kidnappé. Par la suite, le gouvernement central a décidé de patienter : ses fonctions de vice-président du Comité permanent de l'Assemblée populaire nationale ont été réservées jusqu'en 1964. En octobre 1959, lors d'un entretien avec la délégation du Parti communiste indien, Mao Zedong a déclaré : « Si le dalaï-lama apporte son soutient à notre proposition, nous espérons qu'il reviendra. Il peut revenir, sous la condition qu'il soit d'accord avec deux choses : le Tibet fait partie de la Chine et il procédera à la réforme démocratique et à la réforme socialiste. »
Pourtant, sur la route de sa fuite, le XIVe dalaï-lama a ouvertement rejeté l'Accord en 17 articles, en niant sa position patriotique et ses promesses d'être patriote. Il a ouvertement rompu avec le gouvernement central et s'est engagé dans la voie de la trahison de l'Etat et de la nation. En juin 1959, le XIVe dalaï-lama a publié une déclaration à Mussoorie, en Inde, prétendant qu'« en réalité, le Tibet a toujours été indépendant ». En 1963, le XIVe dalaï-lama a convoqué l'« Assemblée des députés du peuple tibétain » à Dharamsala, toujours en Inde, laquelle a fondé le « gouvernement tibétain en exil », promulgué une « Constitution », et décrété que « le dalaï-lama est le chef de l'Etat », que « les ministres sont nommés par le dalaï-lama », et que « tous les travaux du gouvernement ne peuvent être reconnus qu'après l'autorisation du dalaï-lama ».
Le 17 décembre 1964, la 151e réunion plénière du Conseil des Affaires d'Etat de Chine a adopté la « Décision sur la destitution du dalaï-lama », indiquant que « le dalaï-lama a déclenché en 1959 une rébellion armée antirévolutionnaire, trahissant ainsi l'Etat, et après sa fuite à l'étranger, il a créé un pseudo gouvernement, publié une pseudo constitution, soutenu l'agression des réactionnaires indiens contre notre pays, et organisé et entraîné des éléments rebelles résiduaires qui se sont enfuis à l'étranger pour perturber la frontière de la patrie. Tout cela démontre qu'il a volontairement rompu avec la patrie et le peuple, qu'il est un traître de la patrie qui se veut l'outil des impérialistes et réactionnaires étrangers. »
– Après la réforme et l'ouverture de la Chine, le gouvernement central a indiqué au XIVe dalaï-lama une solution lui permettant de réparer sa faute, et a proposé la politique selon laquelle « les patriotes appartiennent à la même famille, il n'y a pas de distinction d'ordre parmi eux ». Malheureusement, le XIVe dalaï-lama fait toujours des détours autour de l'« indépendance du Tibet ».
Aimer la patrie est une condition de base prescrite au XIVe dalaï-lama et aux compatriotes tibétains d'outre-mer par le gouvernement central. Pour leur permettre de mieux connaître les performances de l'édification de la patrie, les départements concernés du gouvernement central ont reçu, entre août 1979 et septembre 1980, trois délégations envoyées par le XIVe dalaï-lama et deux groupes de ses parents. La plupart des parents du XIVe dalaï-lama à l'étranger sont retournés en Chine pour effectuer des visites. Il est regrettable que le XIVe dalaï-lama ait rejeté la bonne foi des autorités centrales et n'ait pas profité de cette précieuse opportunité, en persévérant, au contraire, dans sa position d'« indépendance du Tibet » de manière opiniâtre. Il a davantage pris part à des activités de scission et de sabotage, perdant l'occasion de renouer avec le gouvernement central. Les délégations envoyées par le XIVe dalaï-lama ont profité de la politique du gouvernement central de « libre fréquentation », pour préconiser partout l'« indépendance du Tibet », agiter la haine interethnique, ainsi que perturber et saboter de façon illégitime l'ordre normal de la vie et de la production.
A partir de 1979, à la demande de la partie du XIVe dalaï-lama, le gouvernement central a commencé à s'entretenir sporadiquement avec le représentant privé de ce dernier. En février 1979, le dirigeant chinois Deng Xiaoping, lors de son entrevue avec le deuxième frère du XIVe dalaï-lama, Gyalo Thondup, a indiqué, concernant la question du retour du dalaï-lama en Chine : « Le Tibet fait partie de la Chine. Son retour ne peut être négocié qu'en tant que problème intérieur, et non comme un dialogue entre des Etats : c'est ici un point fondamental. » « Tant que le dalaï-lama reconnaît ouvertement que le Tibet fait partie de la Chine, il sera possible d'instaurer un dialogue avec le gouvernement central. Le patriotisme n'est pas une question de temps. Le point fondamental comme quoi le Tibet fait partie de la Chine doit servir de critère pour juger le vrai et le faux. »
Après 1989, avec le bouleversant changement de la situation en URSS et en Europe de l'Est, le XIVe dalaï-lama a mal évalué la situation, prétendant que « le jour de l'indépendance du Tibet allait bientôt arriver », ainsi que « je ne négocie pas avec un pouvoir qui va bientôt s'effondrer ». A la suite de la mort du Xe panchen-lama en 1989, par l'autorisation du gouvernement central, la Fédération chinoise du bouddhisme a invité le XIVe dalaï-lama à revenir en Chine pour participer aux activités funéraires, mais celui-ci a refusé l'invitation. En 1993, le XIVe dalaï-lama a unilatéralement annoncé qu'il allait cesser les contacts avec le gouvernement central. En 1995, il a publiquement renié le système historique et les rites religieux, et a reconnu le soi-disant enfant-réincarnation du Xe panchen-lama.
Malgré tout cela, le gouvernement central n'a cessé d'indiquer une issue possible au XIVe dalaï-lama. En 1997, il a déclaré : « Si le dalaï-lama se passe véritablement de sa position de sécessionniste, cesse ses activités indépendantistes et reconnaît publiquement que le Tibet et Taiwan font partie de la Chine et que le gouvernement de la République populaire de Chine est le seul gouvernement légitime de la Chine, nous pourrons procéder à des contacts et à des négociations sur son avenir personnel. » Jusqu'à aujourd'hui, le gouvernement central s'en tient encore à ce principe. En 2003, il a à nouveau indiqué : « Au Tibet, il faut persévérer dans la direction du Parti communiste chinois, dans le système socialiste et dans le système d'autonomie des régions ethniques. » Cette « triple persévérance » est explicitement stipulée dans la Constitution chinoise. Il s'agit là de la plus grande réalité politique du Tibet et du principe politique fondamental des contacts et des négociations. Le gouvernement central a souligné à plusieurs reprises deux points de base des contacts et des pourparlers : premièrement, le négociateur ne peut être que le représentant privé du dalaï-lama. Le « gouvernement en exil », quel que soit son nom, qui que soit son responsable, restera une clique politique indépendantiste qui a trahi la patrie et qui ne peut représenter le peuple tibétain. Il n'a aucune légitimité, ni aucune qualification pour procéder à des « dialogues » avec le gouvernement central. Deuxièmement, les contacts ou les négociations ne peuvent concerner que l'avenir personnel du dalaï-lama ou, tout au plus, d'une partie de son entourage. En d'autres termes, les contacts ou les négociations ne pourront s'organiser qu'autour des problèmes tels que comment le dalaï-lama abandonnera complètement les incitations et les actions séparatistes, comment il obtiendra le pardon du gouvernement central et du peuple du pays entier, comment résoudre les années restantes de sa vie, et, la position et le système politiques du Tibet étant définis par la Constitution et les lois chinoises, les discussions sur la « question du Tibet » et celles sur la « haute autonomie » seront impossibles.
Entre 1979 et 2002, le gouvernement central a reçu à treize fois les représentants privés du XIVe dalaï-lama, et, entre 2002 et janvier 2010, dix visites de ceux-ci ont été acceptées. Pourtant, le XIVe dalaï-lama a plus d'une fois trompé l'attente du gouvernement central. Il a non seulement continué à préconiser la « voie médiane » qui viole la Constitution chinoise et tente de diviser la patrie, mais a aussi mitigé et créé des activités de sabotage telles que les troubles des Jeux olympiques de Beijing, l'incident du 14 mars au Tibet et des cas d'auto-immolation. En 2011, le XIVe dalaï-lama a annoncé sa « retraite » politique, et peu après, son représentant privé, qui avait eu des contacts avec le gouvernement central, a démissionné. Par la suite, la clique du XIVe dalaï-lama a publiquement déclaré qu'il allait négocier avec le gouvernement central au nom du « gouvernement ». A cause de cette destruction publique des bases d'une possible négociation, les contacts n'ont pu se poursuivre.
Pendant plus de trente ans, la clique du XIVe dalaïlama, en fonction de la situation intérieure comme extérieure du pays, n'a cessé de changer et de réajuster ses tactiques, et a interrompu, à plusieurs reprises et de son propre chef, les contacts avec le gouvernement central. Quand elle jugeait que la situation intérieure et extérieure lui était « défavorable », elle réclamait des échanges, alors que lorsqu'elle jugeait la situation favorable, elle suspendait les contacts. Même durant les périodes de contacts, elle abordait régulièrement la question de l'« indépendance du Tibet », et n'a jamais cessé, à l'intérieur comme l'extérieur du pays, ses activités visant à diviser la patrie.
Après le XVIIIe Congrès du Parti communiste chinois, le Comité central avec le camarade Xi Jinping comme secrétaire général a réitéré : « La politique du gouvernement central vis-à-vis du XIVe dalaï-lama est constante et claire. Celui-ci ne pourra améliorer ses relations avec le gouvernement central que sous la condition qu'il déclare ouvertement que le Tibet fait partie intégrante de la Chine et ce depuis l'Antiquité, qu'il abandonne sa position concernant l'“indépendance du Tibet” et arrête les activités visant à diviser la patrie. » Le gouvernement central souhaite que, de son vivant, le XIVe dalaï-lama abandonne ses illusions, fasse face à la réalité, corrige ses fautes, choisisse une voie raisonnable et objective et agisse de manière bénéfique pour les compatriotes tibétains exilés outre-mer. |