Après avoir traversé des quartiers anciens et modernes de Beijing, une vingtaine de journalistes africains sont arrivés vendredi au stade olympique national, surnommé le "Nid d'oiseau", en construction. C'est leur première approche du stade principal des JO 2008.
"Pourquoi l'appeler le nid d'oiseau ?" "Combien a été investi pour la construction ?" "Quand les travaux se termineront- ils ?" Les journalistes posent de nombreuses questions devant cette grande structure en acier.
Daniel T.Makokera, journaliste sud-africain à la Télévision de SABC, a dit qu'il comprenait maintenant pourquoi la Chine avait été choisie comme pays-hôte des JO 2008. "Il faut que les gens qui n'ont jamais été en Chine viennent voir ce qui se passe aujourd'hui dans ce pays et son développement", a-t-il dit.
Le journaliste centrafricain Ngoupaha Paul-Marin a trouvé " formidable" l'architecture du stade de 69 mètres de haut, dont l'inspiration est la naissance de l'espoir. "Je suis convaincu que Beijing est capable de bien organiser ce grand évènement sportif", a-t-il dit.
Pierre Emangong Kunga, travaillant pour le journal Le Potentiel de la République démocratique du Congo, a partagé ce point de vue. Il s'est dit réjoui de voir se dérouler normalement la construction de l'infrastructure pour les JO 2008 de Beijing.
"Nos athlètes participeront à des compétitions de course en 2008", a-t-il dit fièrement.
xinhuanet
2006/11/04 |