Les chefs politiques et organisations sociales de nombreux pays dénoncent la visite de Pelosi dans la région chinoise de Taiwan (SYNTHESE)

Par : LIANG Chen |  Mots clés : Chine-USA-politique
French.china.org.cn | Mis à jour le 07-08-2022

Les dirigeants politiques et les chefs d'organisations sociales de nombreux pays ont critiqué la visite de la présidente de la Chambre des représentants américaine, Nancy Pelosi, dans la région chinoise de Taiwan.

Dans des messages adressés au Département international du Comité central du Parti communiste chinois, ils ont indiqué que la visite de Mme Pelosi constituait une grave violation de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de la Chine ainsi qu'une sérieuse entorse au droit international et aux principes de base régissant les relations internationales.

Evo Morales, ancien président bolivien et président du parti Mouvement vers le socialisme, a déclaré que la visite de Mme Pelosi était une provocation politique contre la Chine et une violation de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de la Chine.

Tiong King Sing, président du Parti démocrate progressiste de Malaisie et envoyé spécial du Premier ministre malaisien pour la Chine, a affirmé que la visite de Mme Pelosi violait le principe d'une seule Chine et les trois Communiqués conjoints sino-américains, ajoutant que la Malaisie respectera toujours le principe d'une seule Chine.

Iyad Allaoui, ancien Premier ministre irakien, a souligné que la visite de Mme Pelosi interférait avec les affaires intérieures de la Chine. Selon lui, Washington est plus préoccupé par ses propres intérêts que par la démocratie.

Belete Molla, président du Mouvement national Amhara de l'Ethiopie et ministre de l'Innovation et de la Technologie, a lui aussi relevé que la visite de Mme Pelosi constituait une ingérence flagrante dans les affaires intérieures de la Chine. Il a assuré que la communauté internationale reconnaissait le principe d'une seule Chine et que la partie éthiopienne soutenait les efforts de la Chine pour défendre sa souveraineté nationale et son intégrité territoriale.

Winston Alarcon, secrétaire général du Parti communiste équatorien, a indiqué que la visite de Mme Pelosi dans la région chinoise de Taiwan violait le principe d'une seule Chine universellement reconnu par la communauté internationale, ce qui constitue une provocation effrontée envers la souveraineté et l'intégrité territoriale de la Chine et met en péril la paix mondiale.

Vlad Batrincea, secrétaire exécutif du Parti des socialistes de la République de Moldavie et vice-président du Parlement, a commenté que la dangereuse manipulation de la question de Taiwan par la partie américaine avait provoqué une escalade des tensions et mis en péril la sécurité internationale. Il a rappelé que la Moldavie avait toujours soutenu le principe d'une seule Chine et considérait Taiwan comme faisant partie de la Chine.

Jimson Tanangada, président du Parti de la propriété, de l'unité et de la responsabilité des Iles Salomon, a déclaré que la visite de Mme Pelosi, qui avait eu lieu malgré la forte opposition de la Chine, violait les principes fondamentaux du droit international ainsi que la souveraineté et l'intégrité territoriale de la Chine.

En outre, le président du Parti communiste du Népal (marxiste-léniniste unifié) et ancien Premier ministre, KP Sharma Oli, le président du Parti populaire du Kazakhstan, Ermukhamet Ertysbaïev le chef du Parti communiste du Kirghizistan, Ishak Masaliev, et le président du Comité central du Parti unifié des patriotes démocrates de Tunisie, Mohamed Jamour, ont tous formulé leur ferme soutien au principe d'une seule Chine de différentes manières.

D'autres responsables ont exprimé leur soutien au principe d'une seule Chine après la visite de Mme Pelosi, y compris le secrétaire général du Mouvement de la gauche unie de la République dominicaine Miguel Mejia, l'ancien Premier ministre japonais Yukio Hatoyama, l'ancien Premier ministre égyptien Essam Charaf, l'ancien Premier ministre bissau-guinéen Rui Duarte de Barros, ainsi qu'Agung Laksono, membre du conseil consultatif présidentiel d'Indonésie et ancien président du Conseil représentatif du peuple, Iraklis Tsavdaridis, secrétaire exécutif du Conseil mondial de la paix, et Grigor Petrossian, président du Comité pour la paix d'Arménie. Fi

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Source: Agence de presse Xinhua
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