Le terme "service" décrit le mieux le PCC, selon le président de la Société néo-zélandaise d'amitié avec la Chine (INTERVIEW)

Par : Vivienne |  Mots clés : Chine,succès,PCC,NLZ
French.china.org.cn | Mis à jour le 01-07-2022

Le président de la Société néo-zélandaise d'amitié avec la Chine (NZCFS), Dave Bromwich, a fait l'éloge des réalisations du Parti communiste chinois (PCC), utilisant le mot "service" pour décrire la relation entre le PCC et le peuple chinois.

"Le gouvernement est le peuple. Le peuple est le gouvernement. Il s'agit d'une relation mutuelle. S'il fallait choisir un mot pour décrire mon sentiment à l'égard du PCC et du gouvernement chinois, je n'en vois pas d'autre que le mot "service". Pourquoi "service" ? Parce que la Chine s'est développée très rapidement et a entraîné toute sa population avec elle", a déclaré M. Bromwich à Xinhua lors d'une récente interview.

Selon M. Bromwich, les principales raisons du grand soutien du peuple chinois au gouvernement et au PCC sont les succès obtenus dans l'amélioration des moyens de subsistance de la population et le sentiment de fierté que le peuple ressent à l'égard des réalisations de son pays.

Il a déclaré que les questions clés en matière de droits de l'homme étaient l'alimentation suffisante, le logement adéquat et le droit à l'éducation. "Pour ces trois domaines clés, la Chine a fait un travail extraordinaire".

Se souvenant de son premier voyage en Chine il y a 31 ans, M. Bromwich a déclaré : "Je me souviens que le premier voyage que j'ai fait de Shanghai à Guangzhou durait 33 heures. C'est tellement rapide maintenant et cela a rendu la vie des gens tellement plus confortable. C'est un développement très rapide."

Alors que cette année marque le 50e anniversaire des relations diplomatiques entre la Nouvelle-Zélande et la Chine et le 70e anniversaire du NZCFS, M. Bromwich a souligné trois points essentiels pour favoriser les relations bilatérales à l'avenir : l'éducation de la jeune génération, des relations commerciales durables et l'illustration d'une perspective chinoise plutôt qu'une interprétation occidentale de la Chine par les médias.

"Ce sont les médias occidentaux qui sont vraiment responsables d'une grande partie de la désinformation et de la méfiance envers la Chine en tant que nation. Je pense que c'est là que résident les difficultés", a-t-il noté.

M. Bromwich a passé près de dix ans en Chine depuis 1996. La plupart de ses expériences étaient liées à des coopératives et à des projets de développement de communautés rurales dans des régions reculées du sud-ouest et de l'ouest de la Chine. Il a été élu président de la NZCFS en 2013.

"Mon expérience en Chine m'a permis de bien comprendre où se trouve la Chine aujourd'hui, d'où elle vient et comment elle s'est développée", a déclaré M. Bromwich.

"Dans le même temps, la partie la plus gratifiante de mon travail est à travers les visites de présenter la Chine au monde extérieur, de connaître les vraies communautés, des villageois avec lesquels nous avons travaillé, aux partenaires au niveau provincial, une véritable présentation de la vraie Chine", a-t-il indiqué.

Suivez China.org.cn sur Twitter et Facebook pour rejoindre la conversation.
Source: Agence de presse Xinhua
Retournez en haut de la page