Revue de la presse malgache

Par :  |  Mots clés : Madagascar,presse,revue
French.china.org.cn | Mis à jour le 28-09-2020

Voici les principales informations à la une de la presse malgache parue ce lundi :

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MIDI MADAGASIKARA

Les risques de déversement de produits pétroliers et de produits chimiques sont élevés sur les zones marines de Madagascar, où passent chaque année plus de 7.000 bateaux, selon le ministère de l'Environnement et de la Météorologie. C'est la raison pour laquelle les techniciens de l'organe de lutte contre l'événement de pollution marine (OLEP) suivent des formations périodiques et font des exercices pratiques pour se préparer aux cas de déversement. Cette semaine, les différents acteurs concernés ont suivi une formation théorique de trois jours à Fort-Dauphin. Hier, ils ont effectué une simulation pratique au niveau du port d'Ehoala. Selon les représentants de l'OLEP, l'exercice pratique consistait en la mise en place d'un barrage en forme de "J" sur 130 mètres depuis un remorqueur qui porte un dispositif permettant d'aspirer l'hydrocarbure en mer, suivant les normes et les lois sur l'environnement. Selon l'OLEP, Madagascar dispose déjà de 3.300 barrages, 461 boudins, 22 motopompes et 22 écrémeurs pour les interventions en cas de déversement.

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L'EXPRESS DE MADAGASCAR

Journée sans mort et sans guéri. C'est le cas hier dans le contexte de persistance du coronavirus qui fait alors jusqu'à samedi deux cent vingt-neuf morts. Rapportant hier la découverte de vingt-huit contaminé supplémentaires tandis que la pandémie ne fait en parallèle aucun décès et aucun cas de guérison, la professeure Hanta Marie Danielle Vololontiana avance "le maintien de la condition d'un traitement de deux semaines, suivi de trois journées sans symptômes pour attester la guérison d'un porteur du coronavirus".

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LES NOUVELLES

Relancer l'entrepreneuriat local. Telle est la principale ambition d'un groupe d'experts qui a mis en place le site web entrepreneuriat.mg durant la période de confinement. Cette initiative contribue à la démocratisation de l'entrepreneuriat, qui est d'habitude perçu comme étant réservé à une certaine catégorie de personnes. "Ce site propose, en langue malagasy et gratuitement, des contenus conçus par des professionnels. Il devra donc combler les lacunes laissées par la gamme de services existante qui est, soit payante, soit en langues étran­gères, soit en présentiel uniquement", a expliqué Njaka Rajaonarison, le fondateur du cabinet Esprit d'entreprise (EdE).

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Source: Agence de presse Xinhua
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