Salir la Chine ne fera pas oublier ses progrès concrets en matière de droits de l'homme (COMMENTAIRE)

Par : Laura |  Mots clés : Commentaire,Chine,Droits de l'homme
French.china.org.cn | Mis à jour le 07-07-2020

Lors de la 44e session du Conseil des droits de l'homme de l'ONU, les Etats-Unis et certains pays occidentaux ont une nouvelle fois attaqué la Chine pour ce qu'ils ont prétendu être des violations des droits de l'homme, allégations qui ont été catégoriquement rejetées par des dizaines d'autres pays.

La platitude des arguments utilisés par ces pays critiquant la Chine sur son bilan en matière de droits de l'homme est comme toujours sans fondement, et dévoile encore leur égoïsme et les préjugés profondément enracinés qu'ils entretiennent envers elle.

Les progrès réalisés par la Chine en matière de droits de l'homme au cours des dernières décennies sont très importants et ne peuvent pas être niés ou déformés.

Toute personne dotée de discernement ne peut que remarquer les efforts de réduction de la pauvreté de Chine, qui ont fait passer le nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté de 98,99 millions à 5,51 millions entre 2012 et 2019.

"Le monde reconnaît déjà, ou devrait reconnaître, les énormes progrès réalisés par la Chine en matière de réduction de plus des deux tiers de la pauvreté au cours des dernières cinq années", estime David Beasley, directeur exécutif du Programme alimentaire mondial, en marge du Forum économique mondial 2020 à Davos, en Suisse.

Si l'on est impartial, on ne saurait confondre les efforts antiterroristes de la Chine au Xinjiang (ouest) avec des violations des droits de l'homme, en sachant qu'un Xinjiang sûr, stable et prospère est fondamental pour la protection des droits de l'homme.

Selon les données, de 1990 à fin 2016, les éléments séparatistes, terroristes et extrémistes ont lancé des milliers d'attentats terroristes au Xinjiang, tuant un grand nombre de civils innocents et des centaines de policiers, tout en causant des dégâts considérables aux biens.

Grâce à des mesures antiterroristes et de déradicalisation décisives fondées sur la loi, le Xinjiang n'a connu aucun incident terroriste violent pendant trois années consécutives, tandis que le droit à la vie et au bonheur de tous les groupes ethniques y est désormais bien protégé.

Toute personne dotée d'un cœur ne pourrait ignorer non plus les réalisations de la Chine en matière de droits de l'homme dans la lutte contre le COVID-19.

Depuis le début de l'épidémie, le gouvernement chinois a donné la priorité à la vie humaine, a pris des mesures rigoureuses pour contenir le virus et fait ce qu'il a pu pour aider ceux qui combattent la pandémie.

Le journal américain Science a rapporté en avril que les mesures imposées par la Chine au cours des 50 premiers jours de l'épidémie ont pu prévenir plus de 700.000 infections à travers le pays.

Pourtant, il est ironique de constater que lorsque des faucons de Washington ont de nouveau pointé Beijing du doigt, la flambée des infections et des décès liés à la pandémie, ainsi que la vague incandescente de protestation contre la discrimination raciale aux Etats-Unis, ont révélé la véritable situation des droits de l'homme qui se détériore dans leur propre pays.

Il est maintenant parfaitement clair que ces opportunistes politiques occidentaux anti-Chinois devraient immédiatement se livrer à un examen de conscience concernant la protection des droits de l'homme, ce même sujet sur lequel ils ont l'habitude de faire la leçon aux autres.

Ils devraient prendre conscience du fait que salir la réputation de la Chine ne contribuera jamais à améliorer la situation des droits de l'homme dans leur propre pays, et que cela dévoile au contraire davantage leur incapacité politique à résoudre leurs problèmes sociaux fondamentaux.

Certes, tout comme il est impossible de réveiller une personne qui fait semblant de dormir, il ne faut pas s'attendre à ce que les plus ardents des détracteurs occidentaux de la Chine cessent de s'ingérer dans les affaires intérieures de celle-ci en prenant les droits de l'homme pour prétexte.

Si ces interventionnistes occidentaux croient encore qu'ils peuvent déformer le bilan des droits de l'homme en Chine ou l'intimider à ce sujet, ils font tout simplement fausse route.

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Source: Agence de presse Xinhua
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