Voici notre rubrique "Point de l'actualité" à 03H00 GMT:
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Le Conseil de sécurité s'inquiète du regain de violence dans certaines régions du Yémen
NEW YORK (Nations Unies) -- Le Conseil de sécurité de l'ONU a exprimé son inquiétude concernant le regain de violence dans certaines régions du Yémen, un pays ravagé par des années de conflits entre les rebelles houthis et les forces gouvernementales soutenues par une coalition menée par l'Arabie saoudite. Les membres du conseil ont aussi rappelé qu'ils avaient déjà demandé à toutes les parties au conflit de prendre toutes les mesures possibles pour assurer la protection des civils et de respecter le droit international humanitaire. Ils se sont dit inquiets de la détérioration de la situation humanitaire depuis décembre 2018, notamment d'une grave recrudescence du choléra avec plus de 364.000 cas suspects depuis le début de 2019 et d'une hausse de 18% du nombre de Yéménites en situation d'insécurité alimentaire cette année (20 millions de personnes, soit 65% de la population).
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Juncker réaffirme la non renégociation de l'accord du Brexit avec le successeur de Theresa May
BRUXELLES -- "Il n'y aura pas de renégociation du contenu de l'accord de retrait conclu entre l'UE et la Première ministre britannique Mme May", a déclaré Jean Claude Juncker, président de la Commission européenne, cité mardi par l'agence de presse belge Belga.
Le chef de l'exécutif européen a ainsi réaffirmé la position qui a toujours été la sienne et celle des 28 Etats membres de l'UE, depuis l'adoption de l'accord sur le Brexit en novembre 2018 par les 28 Etats membres de l'UE. M. Juncker a rappelé l'évidence que, l'accord conclu sur le Brexit est un traité entre le Royaume-Uni et l'UE et doit être respecté par le prochain Premier ministre britannique. "Il ne s'agit pas d'un traité entre Mme Theresa May et Jean Claude Juncker". "L'accord ne sera pas renégocié", a-t-il insisté. Cette déclaration du chef de l'exécutif européen intervient quelques jours après l'ultimatum sur le Brexit de Boris Johnson, l'un des candidats favoris à la succession de Mme May.
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La 3e Réunion sino-arabe des experts des bibliothèques s'ouvre au Koweït
KOWEIT -- La troisième Réunion sino-arabe des experts des bibliothèques et de l'information s'est ouverte mardi à la Bibliothèque nationale du Koweït, dans la ville de Koweït. Kamel Al Abdul Jalil, directeur général de la Bibliothèque nationale du Koweït, a déclaré que cette rencontre d'une journée était organisée dans le cadre du Forum de coopération Chine-Etats arabes (FCCEA). "La culture est un facteur important dans le renforcement des relations politiques, économiques et sociales entre les deux pays et les deux peuples, et permettra de maximiser les bénéfices de l'initiative 'la Ceinture et la Route' proposée par la Chine", a-t-il indiqué. "Le Koweït est désireux de coopérer et de s'ouvrir à la civilisation et à la culture des superpuissances comme la Chine", a-t-il ajouté. Yu Jian, directeur du bureau de la Coopération et des Echanges internationaux du ministère chinois de la Culture et du Tourisme, a déclaré que la partie chinoise espérait que tous les participants pourraient avoir une discussion approfondie dans le but de parvenir à une coopération concrète.
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Le président français exprime son soutien à la méthodologie tripartite de l'OIT
GENEVE -- Le président français, Emmanuel Macron, a exprimé mardi son soutien à la méthodologie tripartite (gouvernements, travailleurs et employeurs) de l'Organisation internationale du travail (OIT), dans son discours prononcé lors de la 108e session de la Conférence internationale du travail (CIT) en cours à Genève. "Ce cadre peut se révéler exigeant, et nous devons accepter que la prise de décisions prenne parfois plus de temps, mais cela permet d'avoir des résultats solides", a indiqué M. Macron. Selon le président français, il s'agit de l'esprit de l'OIT de "refuser d'abandonner, agir de manière responsable, construire progressivement la solidarité internationale, grâce au dialogue et au droit".
M. Macron a également évoqué "la responsabilité collective" de travailler "avec l'ensemble des parties prenantes et de remettre l'homme au coeur, l'humanité au coeur". La 108e session de la CIT coïncide avec le centenaire de l'OIT, à laquelle ont également pris part une quarantaine de chefs d'Etat et de gouvernement, dont la chancelière allemande Angela Merkel et le Premier ministre russe Dmitri Medvedev.
