Revue de la presse française

Voici les principales informations à la Une de journaux français parus jeudi :

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LE FIGARO

Attaque à Strasbourg : 700 hommes pour traquer l'assaillant

Depuis mardi soir, la fine fleur de la police française est lancée aux trousses de Chérif Chekatt, l'"islamo-braqueur" qui a semé la mort au marché de Noël de Strasbourg. Le dernier bilan provisoire mercredi soir était de deux personnes décédées, d'une victime en état de mort cérébrale ainsi que de douze blessés, dont six en urgence absolue. Au total, pas moins de 520 policiers ont été mobilisés pour tenter de capturer l'assassin. Issus de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), de la sous-direction antiterroriste (SDAT), du Raid ou encore de la brigade de recherche et d'intervention (BRI), ils sont appuyés par 200 gendarmes, dont deux équipes du GIGN et des hélicoptères.

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LE MONDE

Attaque meurtrière de Strasbourg : la France de nouveau sous le choc

Deux personnes ont été tuées et quatorze autres blessées, mardi 11 décembre au soir, près du marché de Noël de Strasbourg, par un homme qui a tiré au moins à trois reprises. L'assaillant, identifié et "fiché S", a fait feu sur une patrouille de la police, mais a pu prendre la fuite. Il est activement recherché. Le parquet antiterroriste s'est saisi de la tuerie, mais le caractère terroriste n'est pas encore établi, selon le ministère de l'Intérieur.

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LES ECHOS

Déficit : les entreprises mises à contribution

Le déficit de la France devrait bien dépasser les 3% de PIB en 2019 suite aux mesures de pouvoir d'achat annoncées par Emmanuel Macron. Mais le ministre des Finances, Bruno Le Maire, a indiqué mercredi souhaier "rester au plus près... de nos engagements européens", par la réduction des dépenses et par la mise à contribution des entreprises. "Dans les circonstances actuelles, il n'est pas illégitime de demander un effort particulier aux plus grandes entreprises", a souligné le ministre.

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LIBERATION

Strasbourg : itinéraire meurtrier en plein centre-ville

Des coups de feu, une ville hagarde et le silence. Ce mardi soir, un homme a semé la terreur sur le marché de Noël de Strasbourg avant de prendre la fuite, laissant dans son sillage trois morts et au moins douze blessés, dont deux en état d'urgence absolue. Tandis que toutes les polices de France sont toujours sur ses traces, la ville panse ses plaies. Libération revient sur le déroulé de cette soirée et reconstitue le périple du suspect, Chérif Chekatt, qui, selon le procureur de la République, a crié "Allah akbar" à plusieurs reprises au cours de sa tuerie. Tout a commencé autour de 19h45 au pont du Corbeau, l'entrée principale du marché de Noël, située au sud du cœur historique de la ville, quand le présumé terroriste entre dans le périmètre du marché.