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Des responsables et des producteurs de coton du Xinjiang réfutent le mythe du "travail forcé"

French.china.org.cn | Mis à jour le 17. 10. 2021 | Mots clés : Xinjiang,coton
Photo prise le 14 octobre 2021 au district de Xayar, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang. (VCG)

Le district de Xayar, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), a organisé vendredi une conférence de presse au cours de laquelle des producteurs de coton et des responsables locaux ont réfuté le mythe du "travail forcé" au Xinjiang, fabriqué par les forces occidentales antichinoises.

Selon le responsable de la préfecture d'Aksu, Niyaz Axim, Aksu est l'une des plus grandes régions productrices de coton du Xinjiang, avec une superficie de plantation de coton de 500.000 hectares. Sa production de coton à longue fibre représente plus de 90% du total de la Chine.

En 2020, l'industrie du textile et du vêtement d'Aksu a créé 102.000 emplois, apportant aux travailleurs un revenu mensuel moyen de 3.600 à 5.000 yuans (environ 559 à 777 dollars).

Les départements du gouvernement local protègent pleinement les droits des travailleurs de l'industrie du coton, et les entreprises du textile et du vêtement signent des contrats de travail avec les employés conformément à la loi, a noté Niyaz Axim.

Tous les groupes ethniques reçoivent un salaire égal pour un travail égal, ils bénéficient également d'assurance sociale, de formation, de congés et d'autres droits du travail légitimes. Les entreprises respectent pleinement les croyances religieuses, les coutumes, les langues et les autres droits des employés de minorité ethnique, a ajouté Niyaz Axim.

Muhtar Rohman, un producteur de coton local, est devenu chauffeur d'une machine à cueillir du coton il y a deux ans. Selon lui, il peut gagner plus de 100.000 yuans par an. Il enseigne maintenant à son frère et à ses apprentis les techniques d'entretien et la façon de conduire ces machines et des tracteurs. "Je crois que quand ils maîtriseront les compétences, ils gagneront plus d'argent, comme moi", a-t-il indiqué.

"J'ai vu en ligne que certaines forces antichinoises ont inventé des accusations de 'travail forcé' contre le Xinjiang, qui sont de pures calomnies", a déclaré Muhtar Rohman. "Je compte sur la technologie et la diligence pour gagner ma vie, comment peut-il être du 'travail forcé' ?"


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Source:Agence de presse Xinhua