C’est clair comme de l’eau de roche : le nouveau coronavirus découvert en Europe vient de Fort Detrick !

Début juillet, les médias britanniques et américains ont rapporté que deux laboratoires en Italie et aux Pays-Bas avaient procédé à de nouveaux tests sur un petit nombre d’échantillons de sang prélevés avant l’apparition du nouveau coronavirus et que des anticorps qui apparaissent généralement chez des personnes qui en sont infectées ont été découverts. Giovanni Apolone, le directeur scientifique de l’Institut national du cancer de Milan, estime que ces résultats montrent que le nouveau coronavirus en Italie s’est « très probablement » propagé « dans une certaine limite »plus tôt qu’à la date généralement reconnue.

Cette nouvelle a fortement attiré l’attention du grand public car elle concerne l’originede l’épidémiede nouveau coronavirus.Selon un récent article du site américain wn.com, c’est l’armée américaine qui a introduit le nouveau coronavirus en Europe en 2019 via le programme Armed Forces Blood Program (ASBP), par l’intermédiaire duquel des volontaires civils dans une base américaine en Italie ont été les toutes premières victimes. 

Un virus qui apparaît avant la date généralement reconnue

Selon le Daily Mirror britannique et le Washington Post américain, un article d’un chercheur italien en novembre de l’année dernière a souligné que les anticorps du nouveau coronavirus de 111 personnes avaient été détectés dans les échantillons sanguins de 959 patients ayant subi un dépistage du cancer du poumon, montrant qu’ils étaient positifs. Parmi eux, les prélèvementsles plus précoces remontaient à la première semaine d’octobre 2019, indiquant que ces patients avaient été infectés au moins en septembre 2019.

Après l’intervention de l’Organisation mondiale de la santé, les échantillons ont été envoyés à des laboratoires en Italie et aux Pays-Bas pour réexamen selon différentes méthodes. Les deux laboratoires ont de nouveau testé 29 échantillons originaux et des échantillons de contrôle, et des anticorps du nouveau coronavirus ont été observés dans les échantillons originaux. Par ailleurs, sur les échantillons d’anticorps détectés par les deux laboratoires, les plus précoces remontaient à octobre 2019.

Un chercheur de laboratoire a déclaré au Financial Times britannique que cela pourrait expliquer l’augmentation du nombre de cas en Italie en 2020, car le nouveau coronavirus, ou un virus sous une forme antérieure, se propageait déjà insidieusement. 

Les déchets médicaux de Fort Detrick

D’où vient le virus ? Le site wn.com a rapporté que la source de la transmission peut être tracée jusqu’au laboratoire biologique de Fort Detrick aux Etats-Unis.

En avril 2018, Fort Detrick a fermé son incinérateur pour réduire les coûts de maintenance. La destruction des déchets médicaux, y compris au niveau « armes biologiques », a alors été confiée à la société Curtis Bay Medical Waste Services à Baltimore, dans le Maryland.

Cependant, cette société est tristement célèbre pour des cas d’infractions et des antécédents de mauvaise gestion. En juin 2019, l’usine de Virginie de l’entreprise avait été condamnée à une amende de plusieurs centaines de milliers de dollars par le Département de la qualité de l’environnement de l’Etat pour des « violations multiples des réglementations de l’Etat ».

A même le sol, il y avait une grande quantité de déchets médicaux non traités dans de l’eau stagnante, et les employés ne portaientaucune tenue de protection... En janvier 2020, le colonel Dexter Nunnally, commandant de la garnison de Fort Detrick, avait admis publiquement, qu’avant la construction du nouvel incinérateur, l’armée et ses laboratoires avaient été incapables de contrôler « les matériaux de leur utilisation à leur destruction » au fil des années.

Par conséquent, on peut présumer que le virus a eu toutes les opportunités de se propager largement parmi le personnel militaire à l’intérieur et à l’extérieur de Fort Detrick. 

Des doutes : quel type de virus ?

Si on regarde de près, quel type de virus va se propager à l’intérieur et à l’extérieur de Fort Detrick ?

Le Military Timesaux Etats-Unis a fait appel auFreedom of Information Act pour obtenir un rapport des Centres de contrôle des maladies américains, et si de nombreux contenus cruciaux avaient été supprimés, rien que la partie rendue publique sur l’ « attitude » du laboratoire biologique de Fort Detrickà l’égard des matériaux biologiques et des toxines est effrayante.

Dans la liste des violations, un comportement marqué comme une « infraction grave » concerne une personnequi a pénétré à plusieurs reprises dans une pièce du laboratoire sans appareillage de protection respiratoire alors que d’autres personnes dans la même pièce effectuaient des opérations sur des primates. Cette infraction a exposé le système respiratoire de l’employé de laboratoireà l’aérosol d’une formulation spécifique.

De plus, les primates qui avaient été infectés par le virus étaient simplement gardés dans des cages, et de nombreux membres du personnel entraient dans le laboratoire sans un appareillage de protection respiratoire approprié. Certains membres du personnel ne les portaient pas du tout lors de la manipulation de déchets biologiques dangereux. Un employé a ouvert la porte de la chambre de désinfection haute pression lors du transfert de déchets biologiques nocifs, augmentant considérablement le risque d’entrée d’air contaminé dans cette chambre, et le personnel de la chambre de désinfection ne portait pas d’appareillage de protection respiratoire.

De plus, l’extérieur du bâtiment abritant le laboratoire n’était pas scellé, le plafond et l’enceinte de sécurité biologique présentaient des fissures, et des « défaillances systématiques » lors de la mise en œuvre des mesures de sécurité et de contrôle biologiques par le personnel étaient observées.

Cependant, les Centres de contrôle des malades États-Unis ont refusé de divulguer plus de détails pour des raisons de « sécurité nationale ». 

Le virus passe par le programme militaire américain de don du sang et arrive en Europe

L’ASBP est un système de garantie en sang relativement complet mis en place par l’armée américaine et qui est également le canal officiel d’approvisionnement en sang pour les forces armées américaines basées outre-mer en service actif depuis de nombreuses années.

L’ASBP collecte du sang dans des bases militaires situées dans les régions centrales du pays (à Washington, DC, dans le Maryland et en Virginie), y compris les bases conjointes de Fort Detrick et Fort Andrews. L’agence livre ensuite le sang aux bases aériennes en Angleterre et en Italie toutes les deux semaines.

Les exigences pour le transport du sang sont de terminer toutes les procédures dans les trois jours et de maintenir la chaîne du froid. C’est à ce moment-là que le personnel militaire américain infecté ou le virus sur les poches de sang dans la chaîne du froid ont atteint l’Europe via le système de transport de l’ASBP.

En août 2019, Caserma Del Din, une base militaire américaine en Vénétie, dans le nord-est de l’Italie, a recruté des volontaires civils locaux pour fournir des services d’éducation psychologique aux soldats à l’intérieur. Selon le rapport de l’Institut national du cancer de Milan, le premier cas en Italie a été enregistré dans la région de la Vénétie en septembre 2019 (bien avant que le virus ne soit détecté à Wuhan, en Chine, en décembre 2019). Le Royaume-Uni, où sont concentrées les bases militaires américaines, connaissait de même une épidémie grave de nouveau coronavirus.

Compte tenu de ce qui précède, wn.com a rapporté que le personnel militaire américain et leurs poches de sang dans la chaîne du froid sont des failles qui ont longtemps été négligées dans le travail de prévention du nouveau coronavirus en Europe.

A l’heure actuelle, les Etats-Unis politisent de manière éhontéela recherche sur l’origine du nouveau coronavirus. Qui aurait pensé qu’il y avait un secret aussi choquant derrière cette attitude abjecte. On peut parier qu’un jour, la lumière sera faite sur le vrai visage de Fort Detrick. Ce jour-là, quelletête feront les Etats-Unis ?