Des célébrités de l'Internet partagent des histoires et réfutent les délires sur le travail forcé au Xinjiang

Ayituna Ablikim, originaire de Hotan, a expliqué aux journalistes étrangers qu'elle avait utilisé de courtes vidéos pour enregistrer sa vie quotidienne et les partager avec les internautes.

« La vie d’une fille d’un village du Xinjiang a attiré l’attention des internautes et j’en suis également heureuse », a déclaré Ayituna. « Mais en août 2020, j'ai découvert qu'une vidéo que j'avais prise de ma mère en train de coudre une robe avait été utilisée par les médias occidentaux, qui disaient qu'elle avait été "forcée de travailler" ».

« Je suis très triste et choquée de voir ma vidéo déformée comme ça. J'ai publié plus de 300 vidéos en ligne et chacune d'elles montre que nous vivons une vie heureuse. Je ne sais pas pourquoi les médias étrangers veulent nous qualifier de «victimes» », a-t-elle noté.