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Une équipe du Conseil d’État se rend dans l’Anhui pour lutter contre la résurgence du COVID-19

French.china.org.cn | Mis à jour le 18. 05. 2021 | Mots clés : COVID


Un professionnel des soins prélève un échantillon par écouvillonnage sur une résidente dans le cadre de tests de détection de l’acide nucléique dans une communauté du canton de Shangpai à Feixi, dans la province orientale de l’Anhui, le 16 mai 2021.


Une équipe de travail du mécanisme conjoint de prévention et de contrôle du Conseil d’État est arrivée dans l’Anhui pour répondre à la résurgence locale du COVID-19.


La province orientale compte actuellement sept cas confirmés et sept cas asymptomatiques, ont indiqué lundi les autorités sanitaires de l’Anhui.


L’équipe de travail dirigée par Sun Yang, chef adjoint du nouveau Bureau national de contrôle et de prévention des maladies, a effectué des visites d’hôpitaux locaux, du centre de prévention et de contrôle des maladies et des communautés concernées par le foyer épidémique.


Il s’agit de la première expédition de ce nouveau bureau, qui est un organe de niveau vice-ministériel relevant de la Commission nationale de la santé, depuis son entrée en fonctions jeudi dernier.


Sun Yang a déclaré que l’équipe de travail assume la responsabilité politique de maîtriser le foyer épidémique de manière rapide et stricte et de créer un environnement social sain pour le 100e anniversaire de la fondation du Parti communiste chinois (PCC).


Son équipe a été précédée dans l’Anhui par une équipe d’experts dépêchée par la Commission nationale de la santé. Zhang Ying, surnommée la « Sherlock Holmes féminine » de Tianjin en raison de son aptitude à retracer les lieux où se sont rendus les patients atteints du COVID-19, faisait partie de cette équipe.


Le risque que l’épidémie se propage à grande échelle a été fondamentalement écarté, ont souligné les autorités provinciales de l’Anhui lors d’un point de presse organisé dimanche après-midi.


Le séquençage génétique des tests prélevés dans l’Anhui n’a révélé aucune mutation à l’origine d’une pathogénicité et d’une infectiosité élevées. Les échantillons ne correspondent pas aux variants hautement infectieux qui sévissent actuellement en Inde ou en Afrique du Sud, ont précisé les autorités.


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Source:french.china.org.cn