Par ailleurs, les travaux dans de nombreux autres domaines progressent effectivement : l'éducation, l'emploi et la réinsertion, la sécurité sociale, la médecine et la santé, la lutte contre la pauvreté, l'amélioration de l'offre en eau potable pour la prévention des maladies dans les régions rurales, le projet de logements convenables résistants aux séismes, etc.

Le Xinjiang ne cesse de promouvoir et d'approfondir la stratégie de la transformation des ressources avantageuses pour la nouvelle industrialisation. L'industrie, qui a enregistré en 2008 une valeur ajoutée de 179 milliards de yuans, est devenue un facteur décisif de la croissance rapide du Xinjiang. La mise en valeur des ressources avantageuses, telles que le pétrole, le gaz naturel, le charbon et le métal non-ferreux, fait du Xinjiang une importante base de l'industrie chimique du pétrole et du gaz, de l'électricité houillère et de l'industrie houillère, ainsi qu'une base de relais des ressources stratégiques. Trois champs pétrolifères, à savoir les bassins de Zhungaer, Tarim et de Tuha, ont été construits. Sans compter des bases de pétrochimie telles que Karamay, Dushanzi, Urumqi, Kuerle, Zepu. Le Xinjiang se classe au 3e et au premier rang du pays, respectivement dans la production du pétrole et du gaz naturel.

L'ouverture du Xinjiang ne cesse de s'élargir. Une structure d'ouverture dans divers domaines et à tous les échelons a pris forme. Des relations économiques et commerciales ont été établies entre le Xinjiang et 140 pays et territoires du monde.

Grâce au développement de l'aviation, des chemins de fer et des routes, le Xinjiang n'est plus une région lointaine. Il dessert 86 villes de vingt pays au moyen de 45 lignes internationales. La longueur du chemin de fer mis en service atteint 2 925 km et celle des routes, 145 200 km. De plus, la transmission de données et la communication multimédia connaissent un développement rapide.