Des images d'horreur sont de nouveau vivantes. Les émeutes qui se sont produites à Lhasa vendredi ne ressemblent aux deux précedentes manifestations de 1959 et de 1989 que par leur cruauté et leur lien incontestable au prêcheur de la paix, le dalai lama.

Le 10 mars, plus de 300 moines du monastère de Zhaibung ont défilé dans les rues de Lhasa. Les moines, supposés être pacifiques, étaient revendicatifs et agressifs, et en conflit flagrant avec les forces de l'ordre. La bagarre est devenue violente et les pertes furent graves.

Vendredi, la foule des manifestants a mené des actions destructrices et n'a épargné rien ni personne sur son passage. Les manifestants ont mis le feu à des immeubles, des douzaines de cars de police et des véhicules privés et ils ont mis à sac des banques, des écoles et des magasins. Des civils innocents ont été poignardés, assomés et battus. Au moins 10 civils sont morts, de leurs brûlures majoritairement.

Au cours de l'incident, les officiers de police de Lhasa ont exercé un grand contrôle. Il sont retés patients, professionels et étaient sommés de ne pas utiliser la force. Dans un esprit humanitaire, ils sont même venus au secours d'un bonze malveillant, qui tentait d'attirer l'attention en se mutilant. Mais à leur modération a répondu encore plus de malveillance.

De telles hostilités pratiqués pas les vénérés bonzes sont à l'opposé de la "non-violence" prêchée par le dalai lama. Les leaders religieux, les Tibétains locaux et les autres habitants se sont opposés et ont condamné la manifestation.

Il est évident que le dernier sabotage bien organisé à Lhasa était un nouvel exercice sanglant de conspiration politique de la clique du dalai lama.

Depuis les assaults armés fréquents dans les zones de frontière dans les années 60 jusqu'à la manifestation sanglante à Lhasa en 1989, les activités sécessionistes montées par le dalai lama n'ont jamais cessé.

Au cours des années récentes, le dalai lama a dit au monde qu'ils avaient cessé de rechercher l'"indépendance tibétaine". Cependant, il s'agit juste d'un autre énorme mensonge.

Dans un effort de pousser la communauté internationale à lier le problème tibétain aux Jeux Olympiques de Pékin, il a, de façon répétée, clamé au cours de ses nombreux voyages internationaux, que l'année 2008 était d'une importance clé et que les Jeux Olympiques seraient la "dernière chance" pour les Tibétains.

Après le coup d'envoi de la manifestation à Lhasa, la clique du dalai lama a maintenu un contact en temps réel avec les manifestants à travers divers canaux, a donné des instructions au noyau dur des manifestants et a synchronisé leurs mouvements, d'après des sources policières. Une nouvelle fois, les preuves s'accumulent contre les trompettes de "non-violence" du groupe du dalai lama, les exposant comme un bouquet de mensonges.

Il est d'une entente commune dans la communauté internationale que le Tibet est une partie indissociable de la Chine. Aucun pays ne reconnait le soi-disant "Gouvernement tibétain en exil". La série de farces et de sabotages de la clique du dalai lama ont rencontré la condamnation de la communauté internationale.