Sous le régime de servage féodal oppressif de l'ancien Tibet, les femmes tibétaines ne possédaient pas de liberté individuelle fondamentale et encore moins de droits politiques. Après la réforme démocratique au Tibet, les femmes tibétaines, qui avaient souffert de l'oppression des trois seigneurs de l'ancien Tibet, ont eu pour la première fois le droit de participer à la gestion des affaires sociales et aux activités sociales au même titre que les hommes et sont ainsi devenues les maîtres de la nouvelle société.

Depuis la création de la fédération des femmes de la région autonome du Tibet en 1960, la première organisation des femmes tibétaines, l'émancipation des femmes tibétaines a connu un développement profond sur ce plateau enneigé. Leur statut, dans les domaines social, politique, économique, culturel et familial, n'a cessé de s'améliorer.

Parmi les femmes tibétaines, on trouve un grand nombre de scientifiques, d'enseignantes, de docteurs, de juges, de procureurs, d'artistes ou de sportives. Tout ceci montre que les femmes tibétaines n'ont pu obtenir une véritable émancipation que sous la direction du Parti communiste chinois.