Récemment, plusieurs médias français ont révélé le scandale entourant Labouré-Roi, une des dix plus grandes marques du vin bourguignon, fondée en 1832. Selon les reportages, les problèmes de la maison Labouré-Roi ne sont pas des moindres : mélanges de vins, fausses médailles, tricherie sur les étiquettes, etc.
Pour protéger les consommateurs chinois et défendre l'intérêt du pays, les départements de l'inspection et de la quarantaine ont offert trois propositions.
Premièrement, avant l'importation, les entreprises doivent renforcer la confirmation du pays d'origine, du fabricant et de l'étiquette, et refuser les importations de vin de la maison Labouré-Roi. Il faut également renforcer la confirmation des produits, surtout les appréciations de l'échantillon.
Deuxièmement, les départements de l'inspection et de la quarantaine doivent renforcer les contrôles du vin importé, surtout du vin français. Il faut détecter plus précisément les pigments, édulcorants, les molécules et le degré d'alcool du vin.
Troisièmement, il faut renforcer les diffusions d'informations sur le vin auprès des consommateurs et élever leur capacité de distinction du vin. Les consommateurs doivent demander aux vendeurs des étiquettes en chinois, le certificat sanitaire et les déclarations de douane pour confirmer l'authenticité des bouteilles. |