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L'établissement de la Journée de l'Emancipation des Serfs est une mesure importante pour mener une lutte "oeil pour oeil, dent pour dent" contre la clique du dalaï lama, a indiqué Legqog, directeur du Comité permanent de l'Assemblée populaire régional du Tibet, vendredi à Beijing en marge de la session annuelle de l'Assemblée populaire nationale (APN, parlement chinois).
"Nous devrons encore longtemps faire attention à préserver l'unité nationale, lutter contre le sécessionnisme à base ethnique et veiller au maintien de la stabilité sociale", a-t-il déclaré.
"Depuis l'échec de la rébellion armée du dalaï lama et de ses partisans il y a 50 ans, ceux-ci rêvent de rétablir le servage féodal réactionnaire, ténébreux, barbare et arriéré au Tibet, et ils n'ont jamais cessé leurs activités pour séparer la mère patrie et saper l'unité ethnique", a-t-il précisé.
Les législateurs tibétains ont approuvé une motion en janvier de cette année, établissant le 28 mars comme 'Journée de l'Emancipation des Serfs' pour commémorer l'émancipation de millions de serfs et d'esclaves au Tibet, il y a 50 ans.
En 1959, le gouvernement central a déjoué une rébellion armée préparée par le dalaï lama et ses partisans.
"La jeune génération du Tibet connaît peu l'histoire". La 'Journée de l'Emancipation des Serfs' l'aidera à "se rappeler un passé douloureux, et à lui faire chérir le développement qui survient aujourd'hui, les changements et la nouvelle vie", a-t-il conclu.
Agence de presse Xinhua 2009/03/07 |
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